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  • Un ex-vice-président PS de Basse-Normandie condamné à 1 an de prison ferme

    10/05/2012 14h15 - PROCÈS-COLLECTIVITÉS-CORRUPTION-PARTIS-PS - Monde (FRS) - AFP

    CAEN, 10 mai 2012 (AFP) - L'ancien vice-président PS du conseil régional de Basse-Normandie chargé des affaires économiques, Philippe Bonneau, a été condamné jeudi à 3 ans de prison, dont un ferme, en correctionnelle à Caen, pour avoir détourné de l'argent, essentiellement via ses activités d'avocat.

    L'ex-élu, qui avait démissionné en 2011, doit également payer plusieurs milliers d'euros de dédommagement à ses victimes et le tribunal lui interdit définitivement d'exercer notamment le métier d'avocat ainsi que toute activité publique. M. Bonneau est également privé de ses droits civiques et de famille pendant 5 ans.

    Les juges ont été plus sévères que le parquet qui, lors de l'audience le 27 mars, avait requis notamment 3 ans avec sursis.

    "Chaque fois qu'il en avait besoin, Philippe Bonneau utilisait les fonds de ses clients pour pouvoir renflouer ses comptes personnel ou professionnel", avait alors résumé la procureur de la République, Catherine Denis.

    M. Bonneau avait reconnu avoir détourné 110.000 euros en trois ans au détriment notamment d'anciens salariés du Crédit Mutuel, banque dont il était l'avocat aux Prud'hommes, de la banque elle-même, ou d'une personne âgée sous curatelle dont il a détourné le remboursement des frais de justice.

  • Honte ! Juncker se retrouve à donner des cours de rattrapage à Hollande

    Juncker "m'a éclairé sur la crise grecque" (François Hollande"

    10/05/2012 21h13 - FRANCE2012-PRÉSIDENTIELLE-PARTIS-PS-UE-GRÈCE - Monde (FRS) - AFP

    PARIS, 10 mai 2012 (AFP) - Le président élu François Hollande a affirmé jeudi soir que le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, l'avait "éclairé sur la façon dont il jugeait la période et quelles informations il pouvait lui communiquer sur la crise grecque".

    Avec M. Juncker "nous avons évoqué l'avenir de l'Eurogroupe", a déclaré M. Hollande lors d'une visite de la Bibliothèque nationale de France, site François-Mitterrand, après avoir rencontré le chef de l'Europegroupe à son antenne présidentielle.

    "Il m'a éclairé sur un certain nombre de sujets", a-t-il ajouté, soulignant qu'il connaissait M. Juncker.

    S'agissant de la crise grecque, le nouveau chef de l'État a jugé que "pour l'instant il y a une crise politique" et qu'il y avait "aussi un rebond de la crise grecque au sens de l'incertitude".

    À propos de la visite annoncée puis reportée d'Alexis Tsipras, chef du parti de la gauche radicale grecque Syriza, M. Hollande a expliqué que ce dernier "avait demandé à (le) rencontrer". "S'il était devenu chef de gouvernement, cette demande aurait été satisfaite, a-t-il dit, ajoutant: "En "tant que leader d'un parti, je ne peux pas à ce stade le rencontrer".

    M. Tsipras a mis fin mercredi à ses efforts de former un gouvernement de gauche anti-austérité, cédant la main à son rival socialiste, Evangélos Vénizélos, qui dispose s'il le souhaite de trois jours.