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Arnaque

  • On vous résume l'affaire Carlos Martens Bilongo, le député LFI soupçonné de blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux

    En une semaine, l'élu de La France insoumise a publié deux communiqués pour contester une partie des éléments qui lui sont reprochés, tout en reconnaissant certains faits.

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  • Présidentielle 2017 : poursuites aggravées pour l'association prestataire de Mélenchon

    L'association L'Ère du peuple, prestataire de la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon en 2017, a été mise en examen notamment pour "escroquerie aggravée" le 3 février dans l'enquête sur les comptes de campagne du candidat LFI.

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  • "Prêt illicite de main-d'œuvre, faux, escroquerie", un député LFI mis en examen

    Bastien Lachaud a été mis en examen le 22 septembre dernier, dans le cadre de l'enquête sur les comptes de campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon en 2017.

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  • Comptes de campagne de Mélenchon en 2017 : ce qui est reproché au député Bastien Lachaud

    Le parlementaire de Seine-Saint-Denis est soupçonné d’escroquerie dans l’enquête sur les comptes de la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon en 2017, d’après une source proche du dossier.

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  • Le maire de Grenoble, Éric Piolle, placé en garde à vue

    Éric Piolle a été placé en garde à vue ce mardi 1er juin dans le cadre d'une enquête pour des soupçons de favoritisme dans l'attribution d'un marché public.

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  • Comptes de campagne : un proche de Jean-Luc Mélenchon entendu par un juge

    Un proche de Jean-Luc Mélenchon (LFI), le conseiller d'État Bernard Pignerol, était entendu vendredi 19 février à Paris par le juge d'instruction chargé de l'enquête sur les comptes de sa campagne présidentielle de 2017, a indiqué une source proche du dossier, confirmant une information de Médiapart.

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  • Enquête ouverte pour "abus de confiance" contre Mélenchon et des dirigeants de La France Insoumise

    Cinq cadres de La France Insoumise, dont son chef Jean-Luc Mélenchon, sont visés par une enquête préliminaire qui fait suite à la perquisition houleuse des locaux du parti en octobre 2018. 

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  • Mustapha Laabid (député LREM d'Ille et Vilaine) condamné à six mois de prison et trois ans d’inéligibilité

    Le député LREM Mustapha Laabid condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité

    L’élu aurait utilisé les fonds de son association pour des repas dans des restaurants, des frais d’hôtels ou encore des achats personnels.

    Il paie pour avoir utilisé de l'argent de l'association qu'il présidait à des fins personnelles. Le député LREM d'Ille-et-Vilaine Mustapha Laabid a été condamné ce mardi par le tribunal correctionnel de Rennes à six mois de prison avec sursis, trois ans d'inéligibilité, et 10 000 € d'amende pour abus de confiance.

    Les faits reprochés à l'élu couvrent la période de 2015 à décembre 2017. Mustapha Laabid, qui a été élu à l'Assemblée nationale en juin 2017, est soupçonné d'avoir dépensé pour des raisons personnelles 21 930 € appartenant au collectif Intermed, dont il était le président. Sur cette somme, 15 000 € auraient concerné uniquement des frais de bouche, comme des achats alimentaires et des factures de restaurant.

    L'élu reconnaît une gestion « maladroite et approximative »

    L'enquête avait été ouverte le 16 novembre 2017 par le parquet de Rennes, à la suite d'un signalement de Tracfin d'octobre 2017. Lors de l'audience qui s'est tenue le 3 juin, le député avait reconnu une gestion « maladroite et approximative », plaidant l'absence de volonté d'enrichissement personnel. Ces arguments n'avaient pas totalement convaincu le procureur, qui avait requis six mois de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité.

    Le député a immédiatement indiqué, via son avocat, qu'il comptait faire appel et rester député. Mais cette condamnation en première instance pourrait l'empêcher de rester au sein du groupe LREM à l'Assemblée. Sous pression après sa mise en examen pour violences volontaires avec arme le 2 septembre 2017, son collègue M'jid El Guerrab avait quitté le parti majoritaire et par conséquent le groupe parlementaire.

    Et, symboliquement, l'une des premières lois soutenues et votées par la majorité à l'été 2017 a été celle de moralisation de la vie politique.

    in : Le parisien - 6 Août 2019

  • Campagne présidentielle : Emmanuel Macron a bénéficié de (très) généreuses ristournes pour l'organisation de ses meetings

    Selon Mediapart, GL Events a octroyé à Emmanuel Macron des réductions de 20, 30, 50 voire 100% sur certaines prestations.

    Le site Mediapart a révélé ce vendredi que selon la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP), les comptes de campagne d'Emmanuel Macron lorsqu'il était candidat à l'Élysée comptent d'importantes réductions sur la location du matériel et des salles de meeting.

    Pendant la campagne présidentielle, l'entreprise GL Events a par exemple facturé au mouvement d'Emmanuel Macron, le 10 décembre 2016 pour la location du matériel pour le meeting de la porte de Versailles, un montant de 29.663 euros... au lieu des 39.490 euros initialement prévus. Pis, d’autres prestations ont été réduites de façon beaucoup plus importante, de 30% à 50%. La meilleure promotion est néanmoins celle octroyée pour la location de la Mutualité, le 12 juillet 2016 (là où Emmanuel Macron prononça son célèbre "c'est notre projet").

    La salle devait être louée pour un montant de 14 000 euros, mais finalement GL Events a accordé une promotion de... - 100%.

    Contactée par la CNCCFP, l'entreprise, dirigée par Olivier Ginon, un proche de Gérard Collomb, assure que ces remises "correspondent à une négociation commerciale habituelle avec un organisateur d'événements". Apparemment, François Fillon est moins bon négociateur : passé aussi par GL Events pour l'organisation de deux meetings (à Lyon et Nice), il n'a pas eu le droit à un geste commercial.

    L'Élysée s'est expliqué suite à la publication de l'article de Mediapart : "au cours de la campagne présidentielle, le mouvement est parvenu à tenir les coûts des différents événements grâce à une approche agressive des négociations commerciales".

    Mediapart rappelle qu'Emmanuel Macron et le PDG de GL Events se connaissent depuis quelques années. EN 2015, celui qui n'était alors que ministre de l'Économie avait lancé un "comité stratégique de filière", dont l'animation avait été confiée à Olivier Ginon.

    in Atlantico - 28/04/2018

  • Bruno Julliard : encore un scandale qui ébranle la mairie de Paris

    L'opposition municipale soumet au Conseil de Paris lundi prochain ce qu'elle considère être un conflit d'intérêt majeur qui vise Bruno Julliard, le premier adjoint à la mairie de Paris et proche d'Anne Hidalgo. Explications.

    Est-ce un simple faux pas ou l’amorce d’un scandale impliquant les rois de la nuit parisienne et la mairie de Paris, en la personne du 1er adjoint d’Anne Hidalgo, l’ancien président de l’Unef Bruno Julliard ? En charge de la Culture, celui-ci est marié, depuis juillet, à Paul Le Goff, qui vient d’être embauché par la société Noctis, un empire de la vie nocturne parisienne. Noctis propose à la location, « de jour comme de nuit, des lieux d’exception modulables et adaptables à tout type d’événement, localisés au cœur des quartiers emblématiques de Paris : Champs Élysée, Tour Eiffel, Opéra, Montparnasse, Quais de Seine, Bois de Boulogne… » Or c’est Bruno Julliard qui, à la mairie, attribue les concessions de nombreux lieux de fêtes disponibles dans l’espace public parisien.

    Dénoncé par des opposants à Anne Hidalgo, le conflit d’intérêts paraît évident. Qu’en est-il vraiment ? On cherche à joindre Paul Le Goff (Science Po, Essec) dont on apprend qu’il a travaillé chez la société financière Oddo. On appelle Noctis et, baladé de service en service, on tombe enfin sur… Paul Le Goff. Bingo ! Décontenancé par notre appel imprévu, celui-ci nous affirme que « tout est en règle » que son cas « a été soumis à la Haute Autorité de la transparence » et ajoute : « Il faut bien que je trouve du boulot ». Il prend les devants sur la question qu’on allait lui poser : « Je démens absolument que Noctis m’ait embauché en contrepartie de l’attribution par Bruno du Showcase ». C’est pourtant ce qu’affirment plusieurs opposants à Anne Hidalgo et à son premier adjoint. Selon eux, un accord aurait été passé entre Bruno Julliard et Laurent de Gourcuff, pape des nuits parisiennes, patron fondateur de Noctis. Ceux-ci comptent évoquer le sujet lors de la réunion du conseil de Paris qui se tient lundi et mardi prochain.

    C’est un fait : en aout dernier, au même moment où Noctis embauchait Paul le Goff, la société gagnait l’appel d’offres pour la gestion de l’espace situé sous la culée du Pont Alexandre III, où se tenait jusque là le Showcase, une boite de nuit ayant fait pendant des années le bonheur des jeunes branchés parisiens. Laurent de Gourcuff a annoncé de plus hautes ambitions : faire de ce lieu un « cabaret immersif, avec des spectacles partout ». Tout peut donc arriver dans ce « centre culturel éphémère » rebaptisé Le Génie d’Alex, puisqu’en octobre y a été organisée une soirée très particulière, pudiquement qualifiée de naturiste, puis de libertine. Le scandale couve. Ce qui, apparemment, pose aujourd’hui plus de problèmes à Anne Hidalgo et à Bruno Julliard que les éventuels petits arrangements entre amis, entre la mairie de Paris et les organisateurs des nuits parisiennes. Entre Bruno Julliard, à l’initiative, il y a un an et demi, du rejet brutal de Marcel Campion et de ses forains, et de Laurent de Gourcuff, qui vient de récupérer la terrasse de l’ancien immeuble du Virgin Megastore « le plus haut des Champs-Élysées » avec vue à 360°, qui s’ajoute à la trentaine de lieux insolites, tous transformées en machines à cash. Gourcuff, qui a acheté Les Planches, sa première boîte, à 22 ans se définit comme un professionnel de la restauration, de l'événementiel et du festif. Accor a récemment acheté 31% des parts de la société pour 21 millions d'euros.

    In msn.com & « Challenges » - 18 Novembre 2017 - auteur : Airy Routier