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Guerre Mandroux / Frèche

Le maire PS de Montpellier, Hélène MANDROUX, en guerre ouverte avec Georges FRECHE, président du conseil régional du Languedoc-Roussillon et président ce l’agglomération de

Montpellier, a mis hier ce dernier au défi “d’aller au bout de sa logique de destruction”. Dans un communiqué publié au lendemain d’un conseil municipal marqué par les flèches décochées par

M. FRECHE en sa direction, Mme MANDROUX déplore que ce dernier, “dise maintenant vouloir renverser la Ville et même le Département”. “Aujourd’hui, je lui demande (l’aller au bout de sa logique de destruction”, ajoute Mme MANDROUX, “s’il pense avoir les moyens de faire démissionner un tiers des élus municipaux pour provoquer de nouvelles élections, qu’il le fasse. Sinon, je lui demande de se taire enfin et de laisser la Ville de Montpellier travailler sereinement”. Ce communiqué est un nouvel épisode de la guerre que se livrent M. FRECHE d’un côté, Mme MANDROUX et le Parti socialiste de l’autre. Mais Mme MANDROUX a essuyé un cuisant échec (4e position au premier tour, avec 11,36 % des voix). “Vous avez été massivement désavouée par les Montpelliérains et c’est la première fois depuis deux siècles que ça se produit pour le maire de Montpellier”, avait commenté M. FRECHE lundi lors du conseil municipal. “Georges FRECHE a posé la question de ma légitimité de maire. Lui-même dit qu’il n’y a qu’un seul juge: le suffrage universel”, commente Mme MANDROUX. “je suis maire par la volonté du peuple”, dit-elle, mettant au défi M. FRECHE de provoquer la dissolution du conseil municipal.

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