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Ils se détestent - Page 3

  • Vote de confiance: les députés PS "frondeurs" vers une "abstention collective"

    Les députés socialistes "frondeurs" s'orientent "vers une abstention collective" lors du vote de confiance au gouvernement Valls II la semaine prochaine, a annoncé mardi l'un d'entre eux à la presse, Christian Paul.

     

    "Nous nous orientons vers une abstention collective et nous pensons qu'il n'est pas possible d'imposer au groupe socialiste une unanimité de façade en raison de l'impasse économique et politique" actuelle, a déclaré cet élu proche de Martine Aubry au côté d'autres animateurs des "frondeurs", Laurent Baumel et Pouria Amirshahi, avant la réunion du groupe socialiste de l'Assemblée.

  • La contestation chez les socialistes, "un mouvement qui commence", selon Baumel)

    PARIS, 26 août 2014 (AFP) - La contestation de la politique gouvernementale dans les rangs socialistes est "un mouvement qui commence" et si elle s'élargit à l'automne, elle contraindra l'exécutif à "revoir sa politique", a estimé mardi sur France Info le député frondeur Laurent Baumel.

    "C'est un mouvement qui commence, je pense qu'à l'automne prochain, nous serons encore plus nombreux", a estimé le député, qui était interrogé sur l'action des frondeurs au printemps.

    "Un certain nombre (de députés socialistes) vont certainement continuer à considérer qu'ils doivent une sorte de loyauté mécanique au gouvernement, parce que c'est l'esprit de nos institutions, mais il n'est pas impossible, avec l'approfondissement de la crise économique et de la crise politique qu'un certain nombre de parlementaires prennent leurs responsabilités et disent: +nous, cette fois-ci, on ne votera pas, on ne votera pas s'il n'y a pas des inflexions ou rééquilibrage", a-t-il ajouté.

    "Si nous sommes encore plus nombreux (qu'au printempps) à pousser dans ce sens, je pense que le gouvernement sera amené à revoir sa politique", a-t-il avancé: "C'est ça le sens de notre action".

    Selon lui, "nous sommes dans un épisode inédit de la Ve République où des parlementaires de la majorité, qu'on a habitué à voter au carré sans se poser de questions, prennent leurs responsabilités, s'émancipent".

    Laurent Baumel a enfin qualifié l'hypothèse d'une dissolution de l'Assemblée nationale de "menace infantile qu'on fait peser sur les parlementaires".

     

    François Hollande, a-t-il commenté d'autre part, "a fait confiance, à mon sens de façon un peu naïve (...), au Medef qui lui a vendu, en contrepartie d'une baisse massive des charges et des impôts, un engagement des entreprises françaises à créer des emplois qui bien sûr ne vient pas".

  • Montebourg, Hamon, Filippetti, des électrons libres à l'avenir politique incertain

    PARIS, 26 août 2014 (AFP) - Ils avaient manoeuvré il y a cinq mois pour imposer Manuel Valls à Matignon. Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti se retrouvent désormais dans la position d'électrons libres de la majorité, avec la possible tentation de fédérer les opposants à la ligne économique du gouvernement.

    Quel sera l'avenir politique des trois ministres sortants du gouvernement ? Arnaud Montebourg, qui veut retourner "travailler parmi les Français", a assuré qu'il n'avait plus de mandat. En réalité, il est toujours conseiller général de Saône-et-Loire et le président du département, Rémi Chaintron (PS), s'est dit prêt à lui "rendre (son) fauteuil", occupé jusqu'en 2012. Benoît Hamon, lui, va retrouver sa place de député de la 11e circonscription des Yvelines. De même, Aurélie Filippetti redevient dans un mois députée de la 1ère circonscription de Moselle.

    "Dans l'immédiat, Benoît Hamon va prendre du recul, de la hauteur, pour produire quelque chose, tracer des perspectives", affirme à l'AFP Guillaume Balas, secrétaire général du courant "Un monde d'avance", fondé par M. Hamon en 2008. M. Montebourg "va prendre un peu de distance", assure aussi de son côté Arnaud Leroy, député proche de l'ex-ministre de l'Economie.

    Pour ensuite prendre la tête de ces députés socialistes "frondeurs" ? Depuis avril, ces élus réclament de modifier la ligne économique fixée et se retrouvent dans les positions des deux ex-ministres qui incarnaient l'aile gauche du parti au sein du gouvernement.

    "Benoît Hamon aura une place éminente à l'Assemblée nationale mais cela ne veut pas dire forcément qu'il sera le leader des frondeurs", estime M. Balas. "Certes, ils se sont appelés (avec Mme Filippetti et M. Montebourg), mais ils ne sont pas dans la constitution d'un axe", confie l'entourage de l'ex-ministre de l'Education.

    "Il y aura certainement des discussions, c'est un secret de Polichinelle. Après, il faudra voir la forme que cela prendra", tempère M. Leroy.

    -'Pas une question de leadership'-

    Christian Paul, l'un des députés "frondeurs", qui porte régulièrement la parole du mouvement devant les médias, balaie la question: "l'actualité n'est pas là". Et selon lui, "il n'y a pas une stratégie qui sortirait, dans cette semaine douloureuse, de la tête des uns et des autres". "Aujourd'hui, il ne s'agit pas d'une question de leadership, mais de ligne politique".

    "Pour nous, pas question de se mettre comme des petits soldats derrière Benoît Hamon et Arnaud Montebourg sous prétexte qu'ils ont compris les choses au bout de deux ans et demi", prévient un membre du courant "Maintenant la gauche", arrivé deuxième au congrès de Toulouse de 2012 .

    Et à plus long terme ? M. Montebourg a toujours déclaré que la "présidentielle est la seule élection à laquelle (il) envisage de (se) représenter un jour".

    "S'il y a une primaire qui s'ouvre" pour 2017, "ça le titille de repartir", confiait juste avant Frangy-en Bresse un de ses proches. Il avait réuni 17% des voix en 2011. Mais il compte peu de troupes au sein du PS ou au Parlement.

    Pour M. Hamon, l'avenir est aussi compliqué. Il a déçu une partie de ses "amis", qui lui reprochent d'avoir été trop loyal pendant ses deux ans et demi au gouvernement (hormis dimanche dernier) et en participant à la motion majoritaire au congrès de Toulouse, provoquant la naissance de deux ailes gauche concurrentes. Mais pour M. Balas, "il reprendra une place éminente au sein d'"Un monde d'avance"". "Il a choisi de privilégier ses idées" en quittant le gouvernement, se félicite-t-il.

    Quand à l'ex-écologiste Aurélie Filippetti, ses réseaux sont minces au sein du parti.

    En attendant, tous trois ont prévu de se rendre à La Rochelle pour intervenir comme prévu dans le programme.

     

    Et, hasard de calendrier: les 4 et 5 octobre, M. Hamon et M. Montebourg tiendront chacun une université de rentrée, le premier dans les Landes et le second à Laudun-L'ardoise (Gard).

  • Les députés Front de gauche annoncent qu'ils voteront contre le budget

    15/10/2013 12h24 - BUDGET-PARLEMENT-PARTIS-ASSEMBLÉE-GOUVERNEMENT-ENTREPRISES - Monde (FRS) - AFP

    PARIS, 15 octobre 2013 (AFP) - Les députés Front de gauche, qui s'étaient abstenus l'année dernière, ont annoncé qu'ils voteraient contre le projet de budget 2014, débattu à partir de mardi à l'Assemblée.

    "C'est un très mauvais budget", a expliqué lors d'une conférence de presse leur chef de file sur ce thème, Nicolas Sensu. "En l'état actuel, nous voterons contre", a ajouté ce membre de la commission des Finances, en dénonçant en particulier la mise en oeuvre du Crédit impôt compétitivité emploi (CICE).

    "L'annonce du CICE en novembre 2012 a été une rupture de la ligne fiscale du gouvernement. On est dans le dogme de la la baisse du coût du travail", a-t-il dénoncé.

    Face au débat sur le ras-le-bol fiscal, les députés FG ont déposé une série d'amendements pour "réhabiliter l'impôt" et le rendre "plus juste".

    "Aujourd'hui les impôts sont injustes parce qu'ils ne sont pas progressifs. Face à la révolte antifiscale qui gronde dans les couches modestes et moyennes, la seule réponse c'est la révolution fiscale", a estimé M. Sensu, regrettant que les "forces régressives soient en train de gagner la bataille idéologique" sur la fiscalité et la baisse des dépenses publiques.

    Le Front de gauche propose notamment un "impôt sur les sociétés progressif pour que les PME ne soient pas traitées comme les grands groupes" et pour les particuliers la création d'une nouvelle tranche de l'impôt sur le revenu à 50%.

  • Désir (PS) se demande si Mélenchon n'a pas mâché trop de coca

    PARIS, 19 août 2013 (AFP)

     Harlem Désir, premier secrétaire du PS, s'est demandé lundi si Jean-Luc Mélenchon n'avait pas "mâché trop de coca" pendant ses vacances sud-américaines, après les virulentes critiques du coprésident du Parti de gauche contre les socialistes.

    Sur France Info, l'eurodéputé a commenté l'interview au JDD la veille de l'ex-candidat FG à l'Elysée: Il "cherche à tout prix à attirer la lumière, parfois même au prix de la division de la gauche. Je pense qu'il a tort, qu'il vaut mieux que cette caricature médiatique".

    "Quand je l'ai entendu, je me suis demandé s'il n'avait pas mâché un peu trop de feuilles de coca pendant ses vacances en Amérique latine", a glissé le numéro un du PS.

    "La division de la gauche, ça ouvrirait un boulevard à Copé et à Le Pen", a encore averti M. Désir.

    Rentré d'une tournée en Amérique du sud, le responsable du Parti de Gauche et du Front de Gauche a accusé le socialiste Manuel Valls d'avoir été "contaminé" par le FN et a assuré que "le premier pourvoyeur du Front national, c'est François Hollande, par la démoralisation et la démobilisation qu'il répand".

  • Duflot a envisagé de quitter le gouvernement après l'éviction de Batho

    PARIS, 4 août 2013 (AFP) –

    La ministre écologiste du Logement Cécile Duflot a envisagé de quitter le gouvernement après l'éviction de Delphine Batho début juillet, a-t-elle confié au Journal du dimanche (JDD).

    "Il y a des moments où je me suis dit que j'étais sur un fil", explique l'ancienne secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) alors que les relations sont tendues au sein du gouvernement entre les socialistes et les écologistes qui peinent à imposer leurs vues.

    A la question de savoir si elle avait envisagé de partir après le limogeage de Delphine Batho, Cécile Duflot répond: "c'est la seule fois où j'ai réellement pensé que c'était possible".

    Elle envoie alors un texto au président François Hollande et au Premier ministre Jean-Marc Ayrault leur disant: "ne faites pas ça".

    François Hollande a mis fin le 2 juillet aux fonctions de la ministre PS de l'Écologie qui contestait les coupes prévues par le budget 2014 pour son ministère, congédiant pour la première fois un membre du gouvernement pour manque de solidarité.

    Cette décision avait provoqué une bronca chez les écologistes, qui avaient finalement décidé de rester au gouvernement.

    "Je suis venue au gouvernement sur des questions de changement de modèle de développement. Il y a des moments où je me suis dit: +tu y as un peu cru toute seule, ma grande+", raconte encore Cécile Duflot, qui estime d'ailleurs qu'en matière de politique écologique, "peu de ce qui a été dit s'est incarné dans les faits".

    La ministre juge aussi être "une cible" pour la droite. Elle avait été accueillie par des exclamations ironiques de députés de droite, il y a un an, car elle portait une robe lors d'une séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale. Et il y a un mois, son compagnon, Xavier Cantat, s'est attiré des critiques après un tweet comparant le défilé du 14 juillet à un "défilé de bottes".

    "J'étais plus préparée à répondre aux attaques politiques qu'à celles sur mon physique ou ma vie privée", confie Cécile Duflot.

  • Mélenchon: si "Barroso est le carburant" du FN, Hollande est "le pompiste"

    PARIS, 24 juin 2013 (AFP) - Jean-Luc Mélenchon, le coprésident du Parti de Gauche, a ironisé lundi sur les attaques du ministre Arnaud Montebourg (Redressement productif) contre José Manuel Barroso, affirmant que si ce dernier "est le carburant" du FN, alors François Hollande est "le pompiste".

    Interrogé en conférence de presse sur les propos du ministre, qui attaquait le président de la Commission européenne pour avoir qualifié la position française sur l'exception culturelle de "réactionnaire", M. Mélenchon a moqué cette prise de position, lâchant: "Si M. Barroso est le carburant, alors M. Hollande est le pompiste."

    "Barroso est un prétexte pour le gouvernement. Il s'agit d'une manoeuvre de propagande que je comprends qui va consister à reporter sur d'autres, José Manuel Barroso, la responsabilité d'une politique qui est décidée et appliquée en France", a dénoncé le coprésident du Parti de Gauche.

    "Après tout, M. Barroso est un fonctionnaire, et si le président de la République ou le Premier ministre, ou M. Montebourg, qui est membre de ce gouvernement, n'en étaient pas contents, il leur serait possible d'élever la voix. Ils ne le font pas", a constaté le député européen.

  • Cambadélis: le PS "pas à la hauteur" du combat à mener

    Le député PS Jean-Christophe Cambadélis a estimé lundi que le Parti socialiste n'était "pas à la hauteur" de la "bataille du sens" à mener pour expliquer la politique de François Hollande qui, parfois, parle "trop".

    Interrogé par Canal + sur la façon de s'opposer à la déception montrée par des sondages, l'élu de Paris a observé: "on ne peut pas tout attendre du président de la République et de ses interventions".

    "Il y a un doute, on ne peut le combattre en restant l'arme au pied", a-t-il poursuivi.

    "Je trouve que le parti socialiste, la communauté socialiste n'est pas à la hauteur du combat à engager pour donner du sens. La bataille du sens est nécessaire aujourd'hui à mener par les socialistes, sinon personne d'autre de la mènera", a argumenté M. Cambadélis.

    Vise-t-il le Premier secrétaire ? "C'est l'ensemble des socialistes, ne personnalisons pas", a répondu celui qui avait brigué en vain la tête du PS remportée par Harlem Désir. "L'ensemble des parlementaires devraient engager une campagne sur le terrain pour dire où nous allons, où nous en sommes".

    "Le président ne peut pas être tous les jours sur les plateaux, se substituer aux dirigeants socialistes", a-t-il dit.

    Mais ne doit-il pas "parler sans relâche", comme M. Cambadélis lui-même l'avait recommandé sur son blog? "Il parle sans relâche, parfois on peut dire qu'il parle de trop. Dès qu'il est en sortie, on lui tend le micro et il répond», a répliqué le député de Paris.

    Le chef de l'Etat doit-il renoncer aux petites phrases, petites blagues? "C'est son mode de liaison avec les Français pour dire: je suis toujours en relation avec vous", a-t-il répondu.

    A Dijon où le président séjourne deux jours, "il va prendre un peu le pouls de la France profonde", a expliqué le responsable PS.

    M. Cambadélis a encore critiqué des ministres qui "ne se managent pas bien". "A des moments donnés, on se demande qui a raison sur qui. Ces couacs à répétition ne permettent pas de voir où nous allons", a-t-il dénoncé.

  • Vidéo PCF: Harlem Désir dénonce "un clip de mauvaise foi, mensonger et caricatural"

    PARIS, 27 déc 2012 (AFP)

    Le premier secrétaire du PS Harlem Désir a dénoncé jeudi la vidéo du PCF moquant les promesses non tenues du candidat Hollande devenu président, y voyant un "clip de mauvaise foi, mensonger et caricatural", et appelé les communistes à ne pas "se tromper d'adversaire".

    Cette vidéo, intitulée "2013, rallumons les étoiles", met en scène François Hollande formulant différentes promesses lors de la campagne présidentielle, aussitôt coupé par des rires enregistrés typiques des sitcoms, avant que n'apparaisse le chiffre ou l'affirmation le contredisant dans les faits.

    Ce clip "qui vise de façon inacceptable le président de la République et le gouvernement" est "de mauvaise foi, mensonger et caricatural: il est une faute contre la gauche", dénonce le patron du PS dans un communiqué.

    "Ce clip est un honte pour ses auteurs", fustige encore Harlem Désir en constatant que "François Hollande et la gauche qui gouverne sont la cible exclusive de ce clip qui épargne totalement la droite et l'extrême droite".

    "Ce clip ne met pas seulement en cause le président de la République, il ignore délibérément l'action menée depuis 8 mois au service des Français", souligne le leader socialiste, citant une longue liste de mesures sociales prises par le gouvernement, dont beaucoup ont été "votées par le PCF au Parlement".

    "Ce clip passe aussi sous silence l'incohérence du Parti communiste qui a, pour la première fois avec la droite au Parlement, voté contre des réformes qui améliorent la vie quotidienne des Français comme le budget de la Sécurité sociale", tacle le premier secrétaire du PS qui appelle le PCF "à cesser de se tromper d'adversaire et à se garder d'une dérive contraire à sa tradition de responsabilité".

    "Ces caricatures sont insultantes et dangereuses pour l'unité de la gauche. La France n'a rien à gagner à la division de la gauche. Au lieu de faire la guerre à la gauche, le Parti communiste devrait aider le gouvernement à faire la guerre au chômage et à la crise", fait-il valoir.

  • Le PCF moque les promesses non tenues d'Hollande dans ses voeux pour 2013

    PARIS, 27 déc 2012 (AFP)

    Le Parti communiste a ouvert le bal des voeux pour l'année 2013 en publiant une vidéo de presque quatre minutes moquant les promesses non tenues du candidat Hollande devenu président.

    Le clip, intitulé "2013, rallumons les étoiles", met en scène François Hollande formulant différentes promesses lors de la campagne présidentielle, aussitôt coupé par des rires enregistrés typiques des sitcoms, avant que n'apparaisse le chiffre ou l'affirmation le contredisant dans les faits.

    A chaque engagement non tenu, le slogan "le changement, c'est maintenant" apparaît grignoté, pour finalement totalement disparaître à la fin de la vidéo.

    François Hollande est ainsi montré du doigt par le Parti communiste sur sa politique dans les domaines de la culture, l'Europe, la santé, le vote des étrangers, la hausse de la TVA, le vote à la proportionnelle ou encore la finance.

    La dernière séquence du clip aborde le thème de l'industrie; le président y apparaît peu à peu submergé par le nom des groupes industriels ayant annoncé des plans de licenciements et les rires laissent place à cette phrase : "1.500 emplois détruits chaque jour, ça nous fait pas rire".

    Le PCF finit sa vidéo en souhaitant "à toutes et à tous une bonne année de luttes".