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Ils se détestent - Page 7

  • Une affiche de son rival sur la porte du domicile rochelais de Royal

    15/06/2012 11h04 - FRANCE2012-LÉGISLATIVES-PARTIS-PS-17 - Monde (FRS) - AFP

    LA ROCHELLE (Charente-Maritime), 15 juin 2012 (AFP) - Ségolène Royal, candidate aux législatives dans la 1ère circonscription de Charente-Maritime, a retrouvé jeudi soir sur la porte de son domicile une affiche de campagne de son rival Olivier Falorni et a contacté la police à ce sujet, a constaté un photographe de l'AFP.

    Ségolène Royal a retrouvé sur la porte de son domicile jeudi soir à La Rochelle une affiche de campagne de son rival Olivier Falorni, "Ici c'est Falorni".

    L'équipe de Ségolène Royal a affirmé à ce photographe qu'une main courante serait déposée à la police vendredi matin, sans que le dépôt effectif n'ait pu être confirmé vendredi matin auprès de l'équipe de Ségolène Royal, ni auprès du commissariat de La Rochelle.

    Des policiers, notamment de la police scientifique, se sont déplacés au domicile de Mme Royal pour opérer des constats et des relevés.

    D'après le photographe de l'AFP, la porte de l'appartement voisin de celui de Mme Royal avait aussi reçu des éclaboussures de sauce tomate.

  • Affaire Trierweiler : une situation similaire dans l'Aisne pour le duel Dosière - Karimet

    Le HuffPost Par Lauren Provost : 14/06/2012

     

    C'est l'autre affaire Trierweiler des élections. Le scénario des législatives dans la 1ère circonscription de l'Aisne ressemble étonnamment à l'imbroglio de La Rochelle, il suffit de changer le nom des personnages.

    Remplacez le nom de Ségolène Royal par celui de René Dosière, député socialiste sortant et candidat officiel du parti depuis le 12 juin dernier. Celui du dissident Olivier Falorni par Fawaz Karimet. Alors que Valérie Trierweiler devient Eliane Daudigny, la femme du président PS du Conseil Général de l'Aisne.

    Pour le second tour des législatives, René Dosière fait face au dissident Fawaz Karimet. Le député sortant est arrivé en tête au premier tour, mais c'était sans compter le soutien, inattendu, de la femme du président du conseil général en faveur de son concurrent.

    Visiblement inspirée par le tweet de Valérie Trierweiler, Eliane Daudigny a publié un message de soutien similaire sur Facebook mardi: "c'est Fawaz Karimet que je soutiens pour sa proximité avec tous, sa fidélité, sa générosité. Il vous défendra à l'Assemblée, il défendra son département à 100%.

     

    La première dame fait donc des émules et ce rebondissement vient compliquer un peu plus le méli-mélo de l'Aisne, comme le fait remarquer le journal L'Union jeudi.

    En effet, René Dosière n'a pas toujours été le candidat soutenu par le PS. Au premier tour, Karimet était l'officiel et Dosière le dissident.

    Mais les rôles se sont inversés après les résultats de dimanche dernier. Arrivé en tête au premier tour avec 29% des voix, Dosière a reçu le soutien du parti alors qu'il a été demandé à Karimet de se désister.

  • Valérie Trierweiler encourage l'opposant de Ségolène Royal

    PARIS, 12 juin 2012 (AFP) - Valérie Trierweiler, compagne du président François Hollande, a envoyé mardi sur twitter un message d'encouragement au dissident PS opposé à Ségolène Royal dans la bataille législative, souhaitant "Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité".

    "Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des rochelais depuis tant d' années dans un engagement désintéressé", écrit ainsi Mme Trierweiler sur son compte twitter, alors que François Hollande a apporté son soutien à Mme Royal, mise en ballottage par ce dissident dans la 1ère circonscription de Charente-Maritime. L'entourage de Mme Trierweiler n'avait pu être joint dans l'immédiat.

  • Mélenchon fustige "la mesquinerie et l'ingratitude" des socialistes

    PARIS, 30 mai 2012 (AFP) - Jean-Luc Mélenchon a dénoncé mercredi "la mesquinerie et l'ingratitude" à l'égard du Front de gauche des socialistes, qui ont critiqué son affrontement avec Marine Le Pen dans la 11eme circonscription de Hénin-Beaumont.

    "Le PS est d'une mesquinerie et d'une ingratitude à l'égard du Front de gauche incroyables", a lancé le dirigeant du FG sur BFM TV et RMC.

    M. Mélenchon a récusé avec force la critique venue des rangs socialistes d'avoir mis Marine le Pen "au centre du jeu" en se présentant contre elle pour les législatives à Hénin-Beaumont.

    "Qui c'est qui tient tout là-bas? Ce n'est pas les socialistes? Comment se fait-il qu'elle (Marine Le Pen) soit arrivée à 31% (dans la circonscription, au premier tour de la présidentielle), sinon du fait de leurs turpitudes locales (... et) de l'infâme M. Dalongeville?", a-t-il lancé.

    "Comme circonscription plus facile, on trouve mieux... Alors quand même, un peu de respect pour les gens qui se battent", a-t-il poursuivi.

    "Les socialistes et la droite dans leur mesquinerie ne tiennent même plus compte du contenu politique d'une bataille. Qui se bat contre le FN dans ce pays? Nous sommes la plupart du temps tout seuls", a affirmé le dirigeant du Front de gauche.

    "Nous avons fait battre, nous, le Front de gauche, Nicolas Sarkozy, parce que sans nous, Hollande n'était pas élu. Il (François Hollande) n'est pas très reconnaissant, mais c'est la vérité", avait déclaré Jean-Luc Mélenchon un peu plus tôt.

    Le responsable a expliqué ce que serait la position du FG face au gouvernement socialiste.

    "On n'est pas l'opposition, bien sûr que non... On ne peut pas dire non plus qu'on est dans la majorité, dans la mesure où l'on ne va pas appliquer son programme", a-t-il dit.

    "Un opposant par exemple, a-t-il souligné, c'est quelqu'un qui vote la motion de censure contre le gouvernement. Moi, je prends l'engagement de ne jamais signer la motion de censure de la droite contre le gouvernement".

    Les députés du FG entendent avoir à l'Assemblée nationale un "travail d'éclaireurs, de sentinelles et d'avant-garde" et qu'"évidemment", ils voteraient contre des textes gouvernementaux si nécessaire.

    Jean-Luc Mélenchon a assuré enfin que l'affaire des tracts anonymes distribués par des proches du FN coûterait "très cher" à Marine Le Pen.

    "Bien sûr, nous portons plainte. Cela va coûter très cher à Mme Le Pen", a-t-il dit.

    Ces tracts sont assimilables à de "la fausse propagande". "Cela peut coûter l'inéligibilité à Mme Le Pen dans tous ses mandats", a-t-il ajouté.

  • Sérieux coups de canif à l'accord PS-EELV à Lyon, Gérard Collomb au front 69-01

    LYON, 23 mai 2012 (AFP) - Le maire PS de Lyon pourfendant les "Khmers verts" et défendant un radical de gauche, l'écologiste soutenu officiellement par les socialistes prenant pour suppléante une opposante au maire: l'accord EELV-PS pour les législatives est sérieusement écorné dans la 1ère circonscription du Rhône.

    "Les électeurs sont déboussolés et les militants socialistes ressentent une insatisfaction car la décision nationale l'a emporté sur la décision locale", constate Jacky Darne, premier secrétaire de la fédération PS du Rhône, qui avait alerté de longue date la direction nationale du parti sur les difficultés rencontrées avec les écologistes.

    Les escarmouches en vue des élections législatives ont débuté il y a plus de six mois, avec le maire Gérard Collomb à l'attaque: "Je me suis toujours battu contre les Khmers rouges, je ne plierai pas aujourd'hui devant les Khmers verts" écologistes et leur "terrorisme intellectuel", avait-il lancé, demandant à François Hollande de rectifier l'accord fraîchement conclu entre PS et EELV.

    L'accord a été convenu "en parfaite entente" entre M. Hollande et la première secrétaire, Martine Aubry, assurait aussitôt Christophe Borgel, secrétaire national aux élections. Sous-entendu, sans que les pro-Hollande, tel Gérard Collomb, ne soient lésés.

    La 1ère circonscription du Rhône (plusieurs arrondissements du sud de Lyon), dont le député sortant est Michel Havard (UMP), est réservée selon l'accord à Philippe Meirieu, spécialiste de l'éducation entré en politique en 2010, devenu vice-président du conseil régional de Rhône-Alpes et président du conseil fédéral d'Europe Ecologie-Les Verts.

    Or à la Région, dirigée par le socialiste Jean-Jack Queyranne, les Verts votent toujours "contre la culture, le développement technologique, les pôles de compétitivité, l'université, contre tout ce qui fait l'avenir de l'agglomération", déplorait il y a peu Gérard Collomb.

    "Si le même type de vote se reproduit demain au niveau national, on sera dans une situation particulièrement difficile", avertit l'édile, qui ne craint nullement d'être exclu de son parti et "préfère soutenir" Thierry Braillard, son adjoint aux sports depuis 2001, investi par le Parti radical de gauche.

    Cet avocat, vice-président du PRG, s'était déjà présenté dans cette 1ère circonscription en 1993 et 2007, sous le patronage des socialistes. "Aujourd'hui j'ai le soutien de l'ensemble des élus locaux du PS sur la circonscription, de nombreux écologistes et de la quasi-totalité des militants socialistes", affirme-t-il à l'AFP.

    Il mène campagne comme "candidat de la majorité présidentielle de François Hollande" et prend la pose aux côtés des autres aspirants socialistes dans le Rhône.

    "On gère dans le meilleur état d'esprit possible", affirme-t-on à la fédération socialiste, tandis que les instances nationales semblent regarder de loin ces bisbilles locales.

    Pour corser la situation, Philippe Meirieu, qui estime "incarner la légitimité et l'union", a pris pour suppléante Nathalie Perrin-Gilbert, maire socialiste du 1er arrondissement, qui se veut une alternative à Gérard Collomb pour les élections municipales de 2014.

    Autre cocasserie, Thierry Braillard s'est adjoint comme suppléante Gilda Hobert, une socialiste.

    Les deux prétendants se disent persuadés de l'emporter, malgré la présence de 14 candidats au total, dans une circonscription dont la population a évolué et qui a voté François Hollande à près de 54% le 6 mai."

    reb/jfr/mad/ed

  • Mélenchon demande aux socialistes "du respect"

    PARIS, 14 mai 2012 (AFP) - Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche aux législatives à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), a demandé lundi au PS "du respect", car lui n'est pas "nommé" dans un endroit sûr contrairement, a-t-il dit, à Martine Aubry ou Vincent Peillon.

    Evoquant sur France Inter le combat qu'il engage notamment face à Marine Le Pen, l'ex-candidat à l'Elysée (11,1%) a assuré : "je n'y ai aucun intérêt personnel". Il a relevé que la présidente du FN a plus de quinze points d'avance sur lui et le PS plus de dix.

    Il vient se confronter "à l'extrême droite qui est en quelque sorte la forme chimiquement pure (...) de la droite", a-t-il dit, vu que "M. Sarkozy a tellement extrême droitisé la ligne de la droite que lors que vous en tapez un, vous en tapez deux pour le même prix".

    Quant aux socialistes, "ils devraient me respecter: sur place, leurs exploits ne sont pas si remarquables qu'ils ne doivent pas tenir compte du respect qu'ils doivent aux autres", a dit l'eurodéputé.

    "C'est ça, la noblesse de la politique, c'est pas: les chefs vont dans des planques, des endroits où ils sont assurés d'être élus d'avance", a poursuivi M. Mélenchon. "Moi, je ne suis pas nommé par Pierre Mauroy comme l'a été Martine Aubry à Lille, je ne suis pas nommé par Solférino tantôt dans la Somme tantôt dans le grand Sud-est comme l'a été Vincent Peillon qui me fait des remarques et des observations sur le fait qu'il faut des élus de proximité pour comprendre les dossiers", a-t-il accusé.

    "Compte tenu de la magnifique bravoure du Front de gauche pour le deuxième tour qui a quand même fait la décision  - parce que sans les 4 millions de voix du FG, quel qu'ait été le brillant niveau de François Hollande, il ne serait pas parvenu à la majorité - nous avons droit à du respect", a insisté M. Mélenchon.

    Selon lui, "beaucoup de socialistes sont très contents" qu'il se présente dans cette 11e circonscription dont le sortant est socialiste et où le PS présente un candidat.

    Alors que le journaliste Patrick Cohen lui rappelait l'initiative ratée de Bernard Tapie allant défier Jean-Marie Le Pen aux régionales de 1992 en Paca, l'ex-candidat à l'Élysée, s'est offusqué de la comparaison et a accusé: "votre intention est de me nuire, de me salir".

  • Mélenchon qualifie Hollande de "monarque dans son palais".

    PARIS, 13 mai 2012 (AFP) - Le leader du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon interrogé dimanche sur France 5 a qualifié François Hollande de "monarque" au détour d'une phrase, avant de "retirer" immédiatement ce qualificatif, parlant d'un "intéressant et important camarade".

    M. Mélenchon, qui parlait des législatives dans l'émission "C politique" sur France 5, a affirmé: "le sujet qui est posé pour la prochaine élection: battre la droite, mais c'est surtout pour quoi faire ? Parce que c'est à l'Assemblée que ça va se passer. C'est pas le monarque qui va décider tout seul dans son palais".

  • Dray interdit de QG de Hollande par la compagne du président élu

    10/05/2012 11h38 - FRANCE2012-PRÉSIDENTIELLE-PARTIS-PS - Monde (FRS) - AFP

    PARIS, 10 mai 2012 (AFP) - Le député socialiste Julien Dray s'est vu interdire mercredi par Valérie Trierweiler, compagne du chef de l'État, l'entrée du QG de François Hollande où était organisé un pot pour la fin de la campagne, a-t-on appris jeudi auprès de membres de l'équipe de campagne.

    C'est Le Parisien qui a relaté dans son édition de jeudi les faits, confirmés à l'AFP.

    Mme Trierweiler a demandé au député socialiste de quitter le QG où était organisé un pot pour fêter la fin de la campagne.

    La compagne du président élu n'a guère apprécié qu'entre les deux tours M. Dray ait convié à son anniversaire Dominique Strauss-Kahn sans prévenir les autres invités - dont des responsables de la campagne de François Hollande -, de la présence de l'ancien directeur général du Fonds monétaire international.

  • Quand Mélenchon accuse Hollande d'avoir triché avec lui lors d'une élection

    PARIS - 15 /03/12 - Dans une vidéo qui fait le buzz sur internet, le candidat Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon raconte un accord qu'il aurait conclu avec François Hollande pour gonfler leurs scores respectifs lors d'un congrès, avant que le second ne le trahisse, ce qu'il ne lui a jamais "pardonné".

    Dans ce témoignage filmé en 2009 par France24 d'une durée d'à peine plus d'une minute et même repris en une du site de l'UMP, M. Mélenchon, lui-même ex-PS raconte cette histoire édifiante d'un arrangement entre socialistes qui aurait eu lieu lors du congrès PS de Brest en 1997, selon lexpress.fr.

    Il raconte: "Et donc je rencontre Hollande et je lui dis +moi c'est fini tu fais ton truc tout seul, tu te mets le score que tu veux parce que moi je ne participe pas à ton truc+".

    "+Oh allez tu ne vas pas discréditer le parti+, me dit-il", poursuit Jean-Luc Mélenchon en faisant parler M. Hollande, lequel lui aurait dit +Bon alors comment on arrange ça ?+".

    "On l'a arrangé comme on dit, lui 85 (%) moi 15 (%). Alors lui il avait plus que sa motion au congrès et moi plus que la mienne, on s'est quittés bons amis en s'embrassant sur les joues. Evidemment un accord avec Hollande ou rien, c'est pareil, il ne tient jamais parole", relate encore l'ex-socialiste.

    Il poursuit: "Non seulement il (M. Hollande) ne tient pas parole, mais il met plus de 15 jours à annoncer les résultats (...) et il me donne un score inférieur à ma motion, ce qui est littéralement impossible", à savoir 10,21%.

    "Pourquoi ?" lui demande alors le journaliste. "Comme ça, par jeu. C'est un homme qui aime jouer et ça l'a amusé de me voir humilié, de me voir fou de rage, ça le distrayait. Dans son cas il s'agit d'un vice de cynique. Je lui ai dit que je ne lui pardonnerai jamais, vous voyez en effet je ne lui pardonne pas", conclut la vidéo.

    © 2012 AFP