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  • Hollande déjeune avec BHL dans l'un des restaurants les plus chers de Paris

    François Hollande et Bernard-Henri Lévy ont déjeuné «Chez Laurent», restaurant chic du 8ème arrondissement, ce mardi.

    Menu par personne, hors boisson : 165 € 

    http://www.le-laurent.com/fr/index.php#carte-et-menus.php

    http://www.le-laurent.com/maj/pdf/Carte_3_janvier_2012_AVEC_prix_SOIR.pdf

    pour mémoire, un dîner au Fouquet's, c'est 85 € : http://www.bestrestaurantsparis.com/fr/restaurant-paris/fouquets.html

    C’est Pierre Bergé, mitterrandien historique, qui a joué les entremetteurs entre les deux hommes dont les relations n’étaient pas au beau fixe.

    Dans une interview au «Parisien Dimanche», l’écrivain-philosophe, qui a soutenu Nicolas Sarkozy lors de la guerre en Libye, tenait des propos peu amènes sur le député corrézien. A la question : «A-t-il la trempe d’un chef de guerre comme Sarkozy ?», BHL répondait : «Probablement pas. Et c’est d’ailleurs bien ce qu’il dit quand il nous annonce, lui-même, qu’il sera un président « normal».

     

    LeParisien - 28 Février 2012

     

     

  • Rose Mafia - Le livre qui balance sur le PS du Pas-de-Calais

    12 02 20 - Gérard Dalongeville - Ancien Maire d'Hénin-Beaumont.jpg Dans un livre choc, "Rose Mafia", l'ex-maire d'Hénin-Beaumont, Gérard Dalongeville, lève le voile sur les étranges circuits de financement d'élus de la fédération socialiste. Lui-même mis en cause par la justice, il refuse d'être le seul à payer.

     

    Emplois fictifs, enveloppes de billets données de la main à la main par des dirigeants d'entreprises, doubles facturations, corruption, achat de complaisance d'un magistrat... Dans un ouvrage de 300 pages truffées de détails, à paraître le 23 février (1), Gérard Dalongeville, ancien maire d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), a décidé de mettre à nu les étranges mœurs de ses anciens amis socialistes.

     

    Un témoignage rare de la part d'un initié sur un "système pourri jusqu'à la moelle", écrit-il. Après être passé huit mois par la case prison - il est mis en examen pour détournements de fonds publics, favoritisme, faux en écriture, corruption... -, l'homme a décidé de tout dire... pour ne pas payer seul.

     

    L'ouvrage guide le lecteur dans les incroyables méandres du financement politique. Et fait brusquement resurgir une époque qu'on pensait révolue depuis l'adoption des lois sur le financement des partis. Mais il faut croire que, dans l'ancien bassin minier où le PS est sans concurrence sérieuse depuis des décennies, les mauvaises habitudes ont perduré.

     

    Dons, surfacturation et vols d'archives...

    À écouter Gérard Dalongeville, les flux d'argent empruntent divers chemins sinueux. Parfois, les militants versent des dons en liquide de 100, 500, voire 1000 euros à un candidat socialiste - ou directement à la fédération PS du Pas-de-Calais - qui leur sont aussitôt restitués par virements d'entreprises "amies". En échange, celles-ci disposent de facilités d'accès aux marchés publics.  

     

    Dalongeville dit avoir les preuves de ce qu'il avance

    L'auteur se fait plus précis lorsqu'il raconte comment un major régional du BTP a versé un chèque de "215 280 euros" à un homme d'affaires peu scrupuleux au titre de dépenses de sponsoring. "L'explication est tout autre, rectifie Gérard Dalongeville, c'est une rétrocommission au profit du PS." 

     

    Pis! L'ancien édile soutient que son ancien premier adjoint s'est rendu en avion au Luxembourg à plusieurs reprises pour blanchir de l'argent et que ces déplacements étaient liés au financement du PS. "Je n'ignore pas la gravité de ces accusations", soutient-il. Et d'annoncer qu'il ne craint pas les procès en diffamation, car il possède les preuves de ses allégations.  

     

    En décembre 2010, la parution dans la presse des lettres que l'ancien maire avait adressées depuis sa cellule à la juge d'instruction Véronique Pair avait déjà mis le feu aux poudres. Au centre des soupçons de financements occultes, un homme: Jean-Pierre Kucheida, 69 ans, inamovible député-maire de Liévin depuis 1981. À l'époque, ce dernier avait réfuté en bloc les "fantasmes" de son ancien protégé.   

     

    "Nettoyer les écuries d'Augias"

    Des "fantasmes" jugés toutefois suffisamment crédibles pour déclencher l'ouverture de quatre enquêtes préliminaires et, depuis, l'organisation de nombreuses et discrètes auditions et perquisitions d'entreprises par la division nationale des investigations financières de Nanterre (Hauts-de-Seine).   

    De bonne source, celles-ci devraient aboutir dans les prochains jours à des gardes à vue assorties de mises en examen pour - à tout le moins - prise illégale d'intérêts. Assigné à résidence dans les Vosges, Gérard Dalongeville, 41 ans, élude un peu trop rapidement ses propres responsabilités dans l'ouvrage. Parfois, il se transforme même en un étrange justicier: "Il est temps de nettoyer les écuries d'Augias", écrit-il.  

    L'éditeur a préservé un secret total jusqu'à la sortie de cet ouvrage sulfureux. Sa parution intervient au pire moment pour le candidat François Hollande. Et au meilleur pour ses concurrents, au premier rang desquels Marine Le Pen, précisément candidate aux législatives à Hénin-Beaumont et qui ne cesse de dénoncer la "mafia socialiste".  

    Depuis des années, les socialistes locaux font tout pour lui donner raison.  

     

    (1) Rose mafia, par Gérard Dalongeville. Ed. Jacob-Duvernet, 298 pages, 19,95€.  

    In l'Express - Jacques Trentesaux - 20 Fev 2012

  • Hollande

    Flamby la France Forte.jpg

  • Hollande piégé pour la seconde fois par le vote électronique à l'Assemblée

    PARIS, 14 février 2012 (AFP) - François Hollande, député socialiste de Corrèze peu présent au palais Bourbon pour cause de campagne présidentielle, s'est fait piéger mardi, pour la deuxième fois en six mois, par une erreur matérielle d'un collègue à qui il avait donné délégation pour voter à sa place.

    Lors du vote d'un texte concernant l'intercommunalité, sur lequel le groupe PS s'abstenait, six députés socialistes ont voté contre, dont François Hollande, révèle l'analyse du scrutin électronique publié par l'Assemblée.

    Mais, selon l'entourage du candidat socialiste, il s'agit d'une erreur matérielle du député auquel il avait donné délégation, François Hollande "ayant toujours voté comme le groupe".

    De même, début septembre, François Hollande avait été comptabilisé dans les votes favorables au premier plan de rigueur gouvernemental, contre lequel votaient les socialistes, en raison d'une erreur technique de Jérôme Cahuzac, président socialiste de la commission des Finances de l'Assemblée, auquel il avait donné procuration.

    Un député peut recevoir délégation d'un de ses collègues, et d'un seul, pour voter à sa place.

  • Toi aussi, enfarine François Hollande

    François, Hollande, enfariné

  • Cécile Duflot, tête à claques (suite)…

    Plus à l'aise pour twitter que pour parler aux journalistes locaux, la petite Cécile fait sa crécelle sur les ondes et répand ses infamies. Petit rectificatif, histoire de replacer les choses dans leur contexte et d'éclairer nos lecteurs comme nos amis écolos.

    Il paraît que cette tête à claques de Cécile Duflot se répand sur Twitter pour dire qu'un journaliste rémois (moi) l'aurait insultée. Ma première réaction, c'est que la patronne des Verts est plus douée pour bavasser sur Twitter (il ne faut pas penser) que pour répondre à un journaliste. Normal. Une grenouille décervelée ne peut répondre qu'à des stimuli. La deuxième chose, c'est que notre péronnelle est une fieffée menteuse. Lorsque je me suis permis de quitter la table, mardi midi à Reims, constatant que Cécile Duflot ne levait pas son œil de ses téléphones, ou alors pipelettait à droite à gauche sans se préoccuper des journalistes qui lui faisaient face (je n'étais pas le seul), je lui ai simplement fait remarquer, en partant, qu'elle avait encore des choses à apprendre dont la politesse. Réponse de Torquemada Duflot : «Je n'ai rien à apprendre d'un journaliste d'extrême droite».

    Comment une fille que je n'ai jamais vue de ma vie, qui n'a jamais lu un seul de mes articles, et avec qui je le jure je n'ai jamais gardé les oies, peut-elle se permettre de porter un tel jugement ?

    «Extrême droite»

    Serait-ce des membres d'Europe Écologie-les Verts de la Marne qui lui auraient soufflé, juste avant sa venue : «attention, tout journaliste qui viendra de l'union sera forcément d'extrême droite».

    Depuis que j'écris dans l'union, il m'arrive d'avoir toutes sortes de réactions. Beaucoup me reprochent d'être «gauchiste», «anti-sarkozyste primaire». Peu m'accusent d'être «d'extrême droite». Mais peu importe. Quand bien même le journaliste en question (moi) serait d'extrême droite, nous sommes en République, il me semble ! Et non pas au temps de l'Inquisition !

    Le hasard faisant bien les choses sur le quai de la gare de Reims où j'attendais un train pour Paris hier matin, je suis tombé sur une représentante des élus écologistes de la ville de Reims, Elodie Bessé. Comme je lui expliquais succinctement qu'il devait certainement manquer quelques cases à sa patronne pour me taxer sans me connaître «de journaliste d'extrême droite», j'ai eu le droit à cette réponse prodigieuse : «Oui, mais vous avez quand même posé une question provocante en demandant pourquoi un ouvrier voterait pour la liste Ecologie».

    Amis écolos, révoltez-vous !

    Je ne vois pas en quoi se préoccuper du sort des ouvriers (j'en viens…) est une marque d'extrême droite. Je voulais simplement dire par là que la campagne écologique manquait d'incarnation, qu'elle semblait plus s'adresser aux générations futures (qui sont encore, à l'heure où je parle, dans les appareils génitaux de leurs parents) qu'à ceux qui vivent en France, présentement, en 2012. Je voulais dire que se préoccuper des smicards, de ceux qui perdent leurs emplois ou en cherchent, me semblait aussi important que la fonte d'un glacier, que le devenir des bébés requins ou la préservation des morpions, sachant que de toute façon la fin de notre univers est programmée, écologie ou pas. Argument qui est passé tout à côté de sa cible. Pas étonnant. Comme disait mon père, qui n'avait que son certificat d'études il est vrai : «parle à mon cul, ma tête est malade !».

    Ma conclusion, provisoire comme notre vie, c'est que la déesse Écologie n'a pas de chance dans notre pays, mère-maquereautée par des harpies style Duflot ou Joly !

    Comment voulez-vous faire confiance en une fille (Duflot) qui a appelé sa fille Térébentine parce que son mari est des Landes et qu'il adore l'essence des pins ? Et s'il adorait la vaseline, elle l'aurait appelée comment ?

    Alors pendant qu'il en est encore temps, je demande aux écologistes de notre pays : réveillez-vous ! Envoyez par-dessus bord ces péronnelles qui font tant de mal à votre cause ! Prenez le pouvoir ! Rendez l'écologie attractive plutôt que punitive ! Soyez beaux, soyez festifs ! Soyez aimables, nous vous aimerons !

    Bruno TESTA - Journal "l'Union" - Reims

  • Hollande enfariné

    12 02 01 - Hollande enfariné.jpgFrançois Hollande s'est fait asperger de farine à la tribune de la manifestation organisée par la Fondation Abbé Pierre pour la présentation du rapport annuel sur le mal logement, mercredi 1er février, porte de Versailles à Paris. (Cliquer sur la photo pour voir la vidéo)

  • Chevènement annonce son retrait de la course présidentielle

    PARIS, 1 février 2012 (AFP) - Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a annoncé mercredi à l'AFP qu'il se retirait de la course présidentielle dans laquelle il s'était engagé le 5 novembre, ajoutant qu'il indiquerait "le moment venu" à qui il apporterait son soutien.

    "Ayant pu exercer, autant que je le pouvais, le rôle pédagogique que je m'étais assigné, et n'ayant plus aujourd'hui les moyens de continuer ma campagne, je décide de retirer ma candidature à l'élection présidentielle. Je continuerai cependant, demain comme hier, à faire entendre ma voix pour servir la République", a précisé l'ancien ministre, 72 ans, dans un communiqué.

    "Dans les temps difficiles qui sont devant nous, rien n'est plus important que de maintenir un recours républicain. J'indiquerai bien sûr, le moment venu, le candidat à l'élection présidentielle auquel, les yeux ouverts, j'apporterai mon soutien", ajoute le fondateur du Mouvement Républicain et Citoyen.

    En se déclarant candidat à l'Elysée, M. Chevènement - qui avait obtenu 5,3% des suffrages à la présidentielle de 2002 - avait dit vouloir "faire bouger les lignes".

    Dans son communiqué, il rappelle les quatre "enjeux majeurs" pour la période qui s'ouvre : "monnaie moins chère que l'euro actuel" pour réindustrialiser le pays, organiser la croissance en Europe, souveraineté budgétaire et fiscale restant entre les mains du parlement français, "redresser l'Europe à partir des nations".

  • "Cécile Duflot à côté de la plaque dans la Marne"

    Il faut se méfier de la télévision. Elle a tendance à déformer les choses.

    Telle personne que l'on pensait arrogante peut très bien se révéler humble, et vice versa.

    Dans le cas de Cécile Duflot, pas de surprise. Elle ressemble exactement à ce qu'elle paraît: une tête à claques. On aurait bien sûr aimé dire l'inverse. Ne pas rester sur une impression. Trouver que tout le monde il est bio, tout le monde il est Joly. Car on était venu un peu pour ça, au restaurant bio de la rue des Moulins de Reims.

    Ce n'est pas parce que je suis parti après l'entrée (une salade de carottes râpées et de betterave rouge) que je ne vais pas faire de la pub. La patronne n'y est pour rien qui nous promettait au choix un délicieux veau Marengo au riz basmati ou une lasagne végétarienne.

    Mais que voulez-vous. À voir en face de soi la maman de la petite Térébentine ne pas lever le nez de ses deux téléphones, pire que Nicolas Sarkozy durant sa grande période, ignorer les journalistes qu'elle avait pourtant invités, ça couperait l'appétit même du journaliste le plus alimentaire.

    C'est comme ça que doucettement j'ai senti comme une irritation monter, alors que la carotte est censée rendre aimable et la betterave rouge prévenir la démence.

    Pour dire les choses autrement, et employer une métaphore champêtre, Cécile Duflot commençait à me les brouter menu. On avait beau faire remarquer à la fille de cheminot que ses deux téléphones même ornés d'un porte-clef avec trois petits moutons, ce n'était pas très écolo et même pour tout dire pas très poli, rien à faire.

    Nos remarques tombaient dans le puits sans fond de son regard bovin qui a vu passer plus d'un train.

    Les jouets de Cécile

    Peut-être que Cécile habituée des télés, des grands journaux, des vedettes journalistes, s'ennuyait-elle à l'idée de commenter la campagne présidentielle d'Eva Joly tellement subtile que des esprits arriérés de la Marne ne pourront jamais comprendre.

    Car il faudrait au moins être le grand stratège Sun Tzu pour deviner ce que l'équipe de campagne de Joly prépare à grands coups de vélo-bélier dans le mur !

    Peut-être que Cécile la Crécelle en avait-elle tout simplement marre d'entendre sa voix au timbre si particulier qu'elle ferait passer le bruit éreintant du grillon pour un chant de rossignol!

    Je ne le saurai jamais. Car malgré l'attrait du veau Marengo (et du riz basmati !), j'ai préféré fuir et laisser notre autiste verte jouer avec ses téléphones comme d'autres jouent avec leur sex toy dans leur bain.

    Bruno TESTA - Journal "l'Union" - Reims

  • Droit du travail : Anne Hidalgo condamnée à 40 mille euros d’amende !

    Le tribunal donne raison à l’inspection du travail contre la Mairie de Paris !

    Anne Hidalgo a été condamnée à 40 000 euros d’amende, en toute discrétion, pour infraction à la législation du travail selon le syndicat Force Ouvrière et l’hebdomadaire « Le Point » du 26 janvier. La Mairie de Paris a déclaré avoir fait appel.

    Au mois de juillet 2011, l’inspection du travail avait déposé deux plaintes au tribunal de Police, l’une pour travail dissimulé, l’autre pour dépassement d’horaire répété à l’encontre de l’Atelier Urbanisme de la Ville de Paris (APUR). Cet organisme qui dépend de la Mairie de Paris est présidé par Anne Hidalgo, 1ère adjointe (PS) du Maire de Paris et candidate désignée à la succession de Bertrand Delanoë. « Un climat social lourd » selon des personnels qui parlent même de « souffrance au travail » voilà ce qu'était le quotidien de ce service municipal.

    C’est le suicide d’une salariée qui a déclenché l’enquête de l’inspection du travail. Visiblement, le droit du travail n’était guère respecté à l’APUR puisque les plaintes ont finalement abouti et la Ville condamnée à une lourde amende. Certains se demandent qui va payer cette somme. Anne Hidalgo ou la Ville de Paris, au moment où cette dernière vient de perdre son triple A ?

    Pour prendre les devants, la Mairie de Paris avait d’ailleurs provisionné 300 000 euros, pas moins, pour payer les dépassements d’horaire déjà effectués ! « Je n’ai pas le sentiment que les choses soient plus dramatiques qu’ailleurs » avait pourtant déclaré avec candeur, le directeur Francis Rol-Tanguy, qui devait être en résistance avec le Code du Travail. « En tant qu’ancienne inspectrice du travail, Anne Hidalgo aurait du être sensible au sujet » murmure pour sa part, le Conseiller de Paris (Nouveau Centre) Jérôme Dubus, élu au conseil d’administration.

     

    Et dire que cette semaine la Mairie de Paris va présenter un projet d’accord-cadre sur la Sécurité et Santé au Travail aux partenaires sociaux dans le cadre d'un Comité Hygiène et Sécurité (CHS) entièrement consacré au sujet. Une majorité de syndicats a déjà pointé le peu d’ambition de ce texte et surtout l’absence totale de moyens pour ne serait-ce que le faire appliquer. Il est vrai que les caisses municipales viennent d'êtres amputées de 340 000 euros avec cette sale histoire.

     

    Dans ces conditions, la plupart des organisations syndicales, ne devrait pas signer cet accord cadre. On comprend que dans ce contexte, cette condamnation tombe plutôt mal !

     

    Et aussi dans : http://www.miroirsocial.com/ du 3 fev. 2012