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La gauche la plus bête du monde - Page 19

  • Quand Mélenchon accuse Hollande d'avoir triché avec lui lors d'une élection

    PARIS - 15 /03/12 - Dans une vidéo qui fait le buzz sur internet, le candidat Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon raconte un accord qu'il aurait conclu avec François Hollande pour gonfler leurs scores respectifs lors d'un congrès, avant que le second ne le trahisse, ce qu'il ne lui a jamais "pardonné".

    Dans ce témoignage filmé en 2009 par France24 d'une durée d'à peine plus d'une minute et même repris en une du site de l'UMP, M. Mélenchon, lui-même ex-PS raconte cette histoire édifiante d'un arrangement entre socialistes qui aurait eu lieu lors du congrès PS de Brest en 1997, selon lexpress.fr.

    Il raconte: "Et donc je rencontre Hollande et je lui dis +moi c'est fini tu fais ton truc tout seul, tu te mets le score que tu veux parce que moi je ne participe pas à ton truc+".

    "+Oh allez tu ne vas pas discréditer le parti+, me dit-il", poursuit Jean-Luc Mélenchon en faisant parler M. Hollande, lequel lui aurait dit +Bon alors comment on arrange ça ?+".

    "On l'a arrangé comme on dit, lui 85 (%) moi 15 (%). Alors lui il avait plus que sa motion au congrès et moi plus que la mienne, on s'est quittés bons amis en s'embrassant sur les joues. Evidemment un accord avec Hollande ou rien, c'est pareil, il ne tient jamais parole", relate encore l'ex-socialiste.

    Il poursuit: "Non seulement il (M. Hollande) ne tient pas parole, mais il met plus de 15 jours à annoncer les résultats (...) et il me donne un score inférieur à ma motion, ce qui est littéralement impossible", à savoir 10,21%.

    "Pourquoi ?" lui demande alors le journaliste. "Comme ça, par jeu. C'est un homme qui aime jouer et ça l'a amusé de me voir humilié, de me voir fou de rage, ça le distrayait. Dans son cas il s'agit d'un vice de cynique. Je lui ai dit que je ne lui pardonnerai jamais, vous voyez en effet je ne lui pardonne pas", conclut la vidéo.

    © 2012 AFP

  • La visite tronquée de François Hollande à Varsovie

    Le candidat socialiste n'a pas été reçu vendredi par le premier ministre polonais, Donald Tusk

    Les visites de capitales européennes, pour François Hollande, se suivent et se ressemblent. Après Madrid, Berlin, Rome et Londres, le candidat socialiste achevait à Varsovie, vendredi 9mars, sa quête continentale de présidentialité.
    Reçu quarante minutes par le président Bronislaw Komorowski, François Hollande ne l'a pas été, comme espéré initialement, par le premier ministre conservateur, Donald Tusk. Tout comme il avait été snobé par Angela Merkel, Mario Monti et David Cameron.
    Un camouflet diplomatique de plus que M. Hollande s'est employé à déminer. «J'ai été reçu par le président de la République polonaise. Je suis moi-même candidat à la présidence. J'ai considéré très modestement que c'est le bon niveau pour la relation que je veux entretenir avec les autorités polonaises », a-t-il évacué, sans préciser que le chef du gouvernement détient ici le pouvoir exécutif.
    Quant à l'entente cordiale entre conservateurs, évoquée par l'hebdomadaire allemand Der Spiegel, qui publiera d'ailleurs lundi un entretien avec le candidat socialiste, celui-ci a, c'est une habitude, ironisé : «Je comprends la prudence, je comprends les amitiés. Le devoir de solidarité me touche, tout particulièrement à l'égard du candidat sortant. » Sans rancune, pourtant «J'essaierai d'avoir le meilleur rapport avec les chefs d'État et de gouvernement. Et même avec ceux qui ne m'auraient jamais reçu avant l'élection présidentielle », a promis M. Hollande. S'agissant des marges de manœuvre dont il disposera pour réorienter la construction européenne, il estime que son élection lui offrirait les coudées franches: «Le nouveau chef de l'État a forcément une légitimité que n'a pas le président sortant. »
    Le staff de M. Hollande avait également prévu une «déambulation» dans les rues du ghetto de Varsovie. Sans savoir que, à part quelques façades d'immeubles, celui-ci n'existe plus depuis longtemps. Le candidat s'est rabattu sur le monument édifié à l'emplacement de la gare qui vidait le ghetto de Varsovie à destination de Treblinka.
    Puis il a filé pour un débat avec l'ex-président Alexandre Kwasniewski et l'intellectuel Adam Michnik, où il a fait pénitence pour les «déclarations malheureuses» entendues en France en 2005 sur les plombiers polonais : «Je veux dire aux plombiers que nous n'avons rien contre cette corporation et rien contre la Pologne. » Fin de l'opération séduction à l'Est, et des déplacements à l'étranger.
    François Hollande, qui recevra le 17mars plusieurs dirigeants sociaux-démocrates européens, entend dire à cette occasion «ce [qu'il] attend des prochaines étapes de la construction européenne ».
    Quant à l'éventualité de revenir en Pologne, une fois élu, pour y soutenir l'équipe de France de football à l'occasion de l'Euro 2012,M. Hollande a plaisanté, en référence à sa proposition de taxation à 75% des hauts revenus, qui concerne certains footballeurs : « Vous avez peur que je sois mal reçu ?Ne vous inquiétez pas, je ferai la quête...»

    David Revault d'Allonnes

    Le Monde – 12-03-12

  • La gauche qui parle de dérive des services secrets a la mémoire courte

    Entre janvier 1983 et mars 1986 la cellule dite antiterroriste de l'Élysée créée par François Mitterrand a écouté plus de 150 personnes dont le journaliste Edwy Plenel, l'avocat Antoine Comte, l'actrice Carole Bouquet, et deux hommes politiques (Joël Galipapa, proche de Charles Pasqua,et le trésorier du CDS François Froment-Meurice).

    En 1985 deux agents de la DGSE coulent le bateau de Greenpeace, le Rainbow Warrior, en Nouvelle-Zélande.

    En 1993 les RGécoutent en direct leconseil national du Parti socialiste

  • Hollande déjeune avec BHL dans l'un des restaurants les plus chers de Paris

    François Hollande et Bernard-Henri Lévy ont déjeuné «Chez Laurent», restaurant chic du 8ème arrondissement, ce mardi.

    Menu par personne, hors boisson : 165 € 

    http://www.le-laurent.com/fr/index.php#carte-et-menus.php

    http://www.le-laurent.com/maj/pdf/Carte_3_janvier_2012_AVEC_prix_SOIR.pdf

    pour mémoire, un dîner au Fouquet's, c'est 85 € : http://www.bestrestaurantsparis.com/fr/restaurant-paris/fouquets.html

    C’est Pierre Bergé, mitterrandien historique, qui a joué les entremetteurs entre les deux hommes dont les relations n’étaient pas au beau fixe.

    Dans une interview au «Parisien Dimanche», l’écrivain-philosophe, qui a soutenu Nicolas Sarkozy lors de la guerre en Libye, tenait des propos peu amènes sur le député corrézien. A la question : «A-t-il la trempe d’un chef de guerre comme Sarkozy ?», BHL répondait : «Probablement pas. Et c’est d’ailleurs bien ce qu’il dit quand il nous annonce, lui-même, qu’il sera un président « normal».

     

    LeParisien - 28 Février 2012

     

     

  • Rose Mafia - Le livre qui balance sur le PS du Pas-de-Calais

    12 02 20 - Gérard Dalongeville - Ancien Maire d'Hénin-Beaumont.jpg Dans un livre choc, "Rose Mafia", l'ex-maire d'Hénin-Beaumont, Gérard Dalongeville, lève le voile sur les étranges circuits de financement d'élus de la fédération socialiste. Lui-même mis en cause par la justice, il refuse d'être le seul à payer.

     

    Emplois fictifs, enveloppes de billets données de la main à la main par des dirigeants d'entreprises, doubles facturations, corruption, achat de complaisance d'un magistrat... Dans un ouvrage de 300 pages truffées de détails, à paraître le 23 février (1), Gérard Dalongeville, ancien maire d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), a décidé de mettre à nu les étranges mœurs de ses anciens amis socialistes.

     

    Un témoignage rare de la part d'un initié sur un "système pourri jusqu'à la moelle", écrit-il. Après être passé huit mois par la case prison - il est mis en examen pour détournements de fonds publics, favoritisme, faux en écriture, corruption... -, l'homme a décidé de tout dire... pour ne pas payer seul.

     

    L'ouvrage guide le lecteur dans les incroyables méandres du financement politique. Et fait brusquement resurgir une époque qu'on pensait révolue depuis l'adoption des lois sur le financement des partis. Mais il faut croire que, dans l'ancien bassin minier où le PS est sans concurrence sérieuse depuis des décennies, les mauvaises habitudes ont perduré.

     

    Dons, surfacturation et vols d'archives...

    À écouter Gérard Dalongeville, les flux d'argent empruntent divers chemins sinueux. Parfois, les militants versent des dons en liquide de 100, 500, voire 1000 euros à un candidat socialiste - ou directement à la fédération PS du Pas-de-Calais - qui leur sont aussitôt restitués par virements d'entreprises "amies". En échange, celles-ci disposent de facilités d'accès aux marchés publics.  

     

    Dalongeville dit avoir les preuves de ce qu'il avance

    L'auteur se fait plus précis lorsqu'il raconte comment un major régional du BTP a versé un chèque de "215 280 euros" à un homme d'affaires peu scrupuleux au titre de dépenses de sponsoring. "L'explication est tout autre, rectifie Gérard Dalongeville, c'est une rétrocommission au profit du PS." 

     

    Pis! L'ancien édile soutient que son ancien premier adjoint s'est rendu en avion au Luxembourg à plusieurs reprises pour blanchir de l'argent et que ces déplacements étaient liés au financement du PS. "Je n'ignore pas la gravité de ces accusations", soutient-il. Et d'annoncer qu'il ne craint pas les procès en diffamation, car il possède les preuves de ses allégations.  

     

    En décembre 2010, la parution dans la presse des lettres que l'ancien maire avait adressées depuis sa cellule à la juge d'instruction Véronique Pair avait déjà mis le feu aux poudres. Au centre des soupçons de financements occultes, un homme: Jean-Pierre Kucheida, 69 ans, inamovible député-maire de Liévin depuis 1981. À l'époque, ce dernier avait réfuté en bloc les "fantasmes" de son ancien protégé.   

     

    "Nettoyer les écuries d'Augias"

    Des "fantasmes" jugés toutefois suffisamment crédibles pour déclencher l'ouverture de quatre enquêtes préliminaires et, depuis, l'organisation de nombreuses et discrètes auditions et perquisitions d'entreprises par la division nationale des investigations financières de Nanterre (Hauts-de-Seine).   

    De bonne source, celles-ci devraient aboutir dans les prochains jours à des gardes à vue assorties de mises en examen pour - à tout le moins - prise illégale d'intérêts. Assigné à résidence dans les Vosges, Gérard Dalongeville, 41 ans, élude un peu trop rapidement ses propres responsabilités dans l'ouvrage. Parfois, il se transforme même en un étrange justicier: "Il est temps de nettoyer les écuries d'Augias", écrit-il.  

    L'éditeur a préservé un secret total jusqu'à la sortie de cet ouvrage sulfureux. Sa parution intervient au pire moment pour le candidat François Hollande. Et au meilleur pour ses concurrents, au premier rang desquels Marine Le Pen, précisément candidate aux législatives à Hénin-Beaumont et qui ne cesse de dénoncer la "mafia socialiste".  

    Depuis des années, les socialistes locaux font tout pour lui donner raison.  

     

    (1) Rose mafia, par Gérard Dalongeville. Ed. Jacob-Duvernet, 298 pages, 19,95€.  

    In l'Express - Jacques Trentesaux - 20 Fev 2012

  • Hollande

    Flamby la France Forte.jpg

  • Hollande piégé pour la seconde fois par le vote électronique à l'Assemblée

    PARIS, 14 février 2012 (AFP) - François Hollande, député socialiste de Corrèze peu présent au palais Bourbon pour cause de campagne présidentielle, s'est fait piéger mardi, pour la deuxième fois en six mois, par une erreur matérielle d'un collègue à qui il avait donné délégation pour voter à sa place.

    Lors du vote d'un texte concernant l'intercommunalité, sur lequel le groupe PS s'abstenait, six députés socialistes ont voté contre, dont François Hollande, révèle l'analyse du scrutin électronique publié par l'Assemblée.

    Mais, selon l'entourage du candidat socialiste, il s'agit d'une erreur matérielle du député auquel il avait donné délégation, François Hollande "ayant toujours voté comme le groupe".

    De même, début septembre, François Hollande avait été comptabilisé dans les votes favorables au premier plan de rigueur gouvernemental, contre lequel votaient les socialistes, en raison d'une erreur technique de Jérôme Cahuzac, président socialiste de la commission des Finances de l'Assemblée, auquel il avait donné procuration.

    Un député peut recevoir délégation d'un de ses collègues, et d'un seul, pour voter à sa place.

  • Toi aussi, enfarine François Hollande

    François, Hollande, enfariné

  • Cécile Duflot, tête à claques (suite)…

    Plus à l'aise pour twitter que pour parler aux journalistes locaux, la petite Cécile fait sa crécelle sur les ondes et répand ses infamies. Petit rectificatif, histoire de replacer les choses dans leur contexte et d'éclairer nos lecteurs comme nos amis écolos.

    Il paraît que cette tête à claques de Cécile Duflot se répand sur Twitter pour dire qu'un journaliste rémois (moi) l'aurait insultée. Ma première réaction, c'est que la patronne des Verts est plus douée pour bavasser sur Twitter (il ne faut pas penser) que pour répondre à un journaliste. Normal. Une grenouille décervelée ne peut répondre qu'à des stimuli. La deuxième chose, c'est que notre péronnelle est une fieffée menteuse. Lorsque je me suis permis de quitter la table, mardi midi à Reims, constatant que Cécile Duflot ne levait pas son œil de ses téléphones, ou alors pipelettait à droite à gauche sans se préoccuper des journalistes qui lui faisaient face (je n'étais pas le seul), je lui ai simplement fait remarquer, en partant, qu'elle avait encore des choses à apprendre dont la politesse. Réponse de Torquemada Duflot : «Je n'ai rien à apprendre d'un journaliste d'extrême droite».

    Comment une fille que je n'ai jamais vue de ma vie, qui n'a jamais lu un seul de mes articles, et avec qui je le jure je n'ai jamais gardé les oies, peut-elle se permettre de porter un tel jugement ?

    «Extrême droite»

    Serait-ce des membres d'Europe Écologie-les Verts de la Marne qui lui auraient soufflé, juste avant sa venue : «attention, tout journaliste qui viendra de l'union sera forcément d'extrême droite».

    Depuis que j'écris dans l'union, il m'arrive d'avoir toutes sortes de réactions. Beaucoup me reprochent d'être «gauchiste», «anti-sarkozyste primaire». Peu m'accusent d'être «d'extrême droite». Mais peu importe. Quand bien même le journaliste en question (moi) serait d'extrême droite, nous sommes en République, il me semble ! Et non pas au temps de l'Inquisition !

    Le hasard faisant bien les choses sur le quai de la gare de Reims où j'attendais un train pour Paris hier matin, je suis tombé sur une représentante des élus écologistes de la ville de Reims, Elodie Bessé. Comme je lui expliquais succinctement qu'il devait certainement manquer quelques cases à sa patronne pour me taxer sans me connaître «de journaliste d'extrême droite», j'ai eu le droit à cette réponse prodigieuse : «Oui, mais vous avez quand même posé une question provocante en demandant pourquoi un ouvrier voterait pour la liste Ecologie».

    Amis écolos, révoltez-vous !

    Je ne vois pas en quoi se préoccuper du sort des ouvriers (j'en viens…) est une marque d'extrême droite. Je voulais simplement dire par là que la campagne écologique manquait d'incarnation, qu'elle semblait plus s'adresser aux générations futures (qui sont encore, à l'heure où je parle, dans les appareils génitaux de leurs parents) qu'à ceux qui vivent en France, présentement, en 2012. Je voulais dire que se préoccuper des smicards, de ceux qui perdent leurs emplois ou en cherchent, me semblait aussi important que la fonte d'un glacier, que le devenir des bébés requins ou la préservation des morpions, sachant que de toute façon la fin de notre univers est programmée, écologie ou pas. Argument qui est passé tout à côté de sa cible. Pas étonnant. Comme disait mon père, qui n'avait que son certificat d'études il est vrai : «parle à mon cul, ma tête est malade !».

    Ma conclusion, provisoire comme notre vie, c'est que la déesse Écologie n'a pas de chance dans notre pays, mère-maquereautée par des harpies style Duflot ou Joly !

    Comment voulez-vous faire confiance en une fille (Duflot) qui a appelé sa fille Térébentine parce que son mari est des Landes et qu'il adore l'essence des pins ? Et s'il adorait la vaseline, elle l'aurait appelée comment ?

    Alors pendant qu'il en est encore temps, je demande aux écologistes de notre pays : réveillez-vous ! Envoyez par-dessus bord ces péronnelles qui font tant de mal à votre cause ! Prenez le pouvoir ! Rendez l'écologie attractive plutôt que punitive ! Soyez beaux, soyez festifs ! Soyez aimables, nous vous aimerons !

    Bruno TESTA - Journal "l'Union" - Reims

  • Hollande enfariné

    12 02 01 - Hollande enfariné.jpgFrançois Hollande s'est fait asperger de farine à la tribune de la manifestation organisée par la Fondation Abbé Pierre pour la présentation du rapport annuel sur le mal logement, mercredi 1er février, porte de Versailles à Paris. (Cliquer sur la photo pour voir la vidéo)