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La gauche la plus bête du monde - Page 20

  • Chevènement annonce son retrait de la course présidentielle

    PARIS, 1 février 2012 (AFP) - Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a annoncé mercredi à l'AFP qu'il se retirait de la course présidentielle dans laquelle il s'était engagé le 5 novembre, ajoutant qu'il indiquerait "le moment venu" à qui il apporterait son soutien.

    "Ayant pu exercer, autant que je le pouvais, le rôle pédagogique que je m'étais assigné, et n'ayant plus aujourd'hui les moyens de continuer ma campagne, je décide de retirer ma candidature à l'élection présidentielle. Je continuerai cependant, demain comme hier, à faire entendre ma voix pour servir la République", a précisé l'ancien ministre, 72 ans, dans un communiqué.

    "Dans les temps difficiles qui sont devant nous, rien n'est plus important que de maintenir un recours républicain. J'indiquerai bien sûr, le moment venu, le candidat à l'élection présidentielle auquel, les yeux ouverts, j'apporterai mon soutien", ajoute le fondateur du Mouvement Républicain et Citoyen.

    En se déclarant candidat à l'Elysée, M. Chevènement - qui avait obtenu 5,3% des suffrages à la présidentielle de 2002 - avait dit vouloir "faire bouger les lignes".

    Dans son communiqué, il rappelle les quatre "enjeux majeurs" pour la période qui s'ouvre : "monnaie moins chère que l'euro actuel" pour réindustrialiser le pays, organiser la croissance en Europe, souveraineté budgétaire et fiscale restant entre les mains du parlement français, "redresser l'Europe à partir des nations".

  • "Cécile Duflot à côté de la plaque dans la Marne"

    Il faut se méfier de la télévision. Elle a tendance à déformer les choses.

    Telle personne que l'on pensait arrogante peut très bien se révéler humble, et vice versa.

    Dans le cas de Cécile Duflot, pas de surprise. Elle ressemble exactement à ce qu'elle paraît: une tête à claques. On aurait bien sûr aimé dire l'inverse. Ne pas rester sur une impression. Trouver que tout le monde il est bio, tout le monde il est Joly. Car on était venu un peu pour ça, au restaurant bio de la rue des Moulins de Reims.

    Ce n'est pas parce que je suis parti après l'entrée (une salade de carottes râpées et de betterave rouge) que je ne vais pas faire de la pub. La patronne n'y est pour rien qui nous promettait au choix un délicieux veau Marengo au riz basmati ou une lasagne végétarienne.

    Mais que voulez-vous. À voir en face de soi la maman de la petite Térébentine ne pas lever le nez de ses deux téléphones, pire que Nicolas Sarkozy durant sa grande période, ignorer les journalistes qu'elle avait pourtant invités, ça couperait l'appétit même du journaliste le plus alimentaire.

    C'est comme ça que doucettement j'ai senti comme une irritation monter, alors que la carotte est censée rendre aimable et la betterave rouge prévenir la démence.

    Pour dire les choses autrement, et employer une métaphore champêtre, Cécile Duflot commençait à me les brouter menu. On avait beau faire remarquer à la fille de cheminot que ses deux téléphones même ornés d'un porte-clef avec trois petits moutons, ce n'était pas très écolo et même pour tout dire pas très poli, rien à faire.

    Nos remarques tombaient dans le puits sans fond de son regard bovin qui a vu passer plus d'un train.

    Les jouets de Cécile

    Peut-être que Cécile habituée des télés, des grands journaux, des vedettes journalistes, s'ennuyait-elle à l'idée de commenter la campagne présidentielle d'Eva Joly tellement subtile que des esprits arriérés de la Marne ne pourront jamais comprendre.

    Car il faudrait au moins être le grand stratège Sun Tzu pour deviner ce que l'équipe de campagne de Joly prépare à grands coups de vélo-bélier dans le mur !

    Peut-être que Cécile la Crécelle en avait-elle tout simplement marre d'entendre sa voix au timbre si particulier qu'elle ferait passer le bruit éreintant du grillon pour un chant de rossignol!

    Je ne le saurai jamais. Car malgré l'attrait du veau Marengo (et du riz basmati !), j'ai préféré fuir et laisser notre autiste verte jouer avec ses téléphones comme d'autres jouent avec leur sex toy dans leur bain.

    Bruno TESTA - Journal "l'Union" - Reims

  • Droit du travail : Anne Hidalgo condamnée à 40 mille euros d’amende !

    Le tribunal donne raison à l’inspection du travail contre la Mairie de Paris !

    Anne Hidalgo a été condamnée à 40 000 euros d’amende, en toute discrétion, pour infraction à la législation du travail selon le syndicat Force Ouvrière et l’hebdomadaire « Le Point » du 26 janvier. La Mairie de Paris a déclaré avoir fait appel.

    Au mois de juillet 2011, l’inspection du travail avait déposé deux plaintes au tribunal de Police, l’une pour travail dissimulé, l’autre pour dépassement d’horaire répété à l’encontre de l’Atelier Urbanisme de la Ville de Paris (APUR). Cet organisme qui dépend de la Mairie de Paris est présidé par Anne Hidalgo, 1ère adjointe (PS) du Maire de Paris et candidate désignée à la succession de Bertrand Delanoë. « Un climat social lourd » selon des personnels qui parlent même de « souffrance au travail » voilà ce qu'était le quotidien de ce service municipal.

    C’est le suicide d’une salariée qui a déclenché l’enquête de l’inspection du travail. Visiblement, le droit du travail n’était guère respecté à l’APUR puisque les plaintes ont finalement abouti et la Ville condamnée à une lourde amende. Certains se demandent qui va payer cette somme. Anne Hidalgo ou la Ville de Paris, au moment où cette dernière vient de perdre son triple A ?

    Pour prendre les devants, la Mairie de Paris avait d’ailleurs provisionné 300 000 euros, pas moins, pour payer les dépassements d’horaire déjà effectués ! « Je n’ai pas le sentiment que les choses soient plus dramatiques qu’ailleurs » avait pourtant déclaré avec candeur, le directeur Francis Rol-Tanguy, qui devait être en résistance avec le Code du Travail. « En tant qu’ancienne inspectrice du travail, Anne Hidalgo aurait du être sensible au sujet » murmure pour sa part, le Conseiller de Paris (Nouveau Centre) Jérôme Dubus, élu au conseil d’administration.

     

    Et dire que cette semaine la Mairie de Paris va présenter un projet d’accord-cadre sur la Sécurité et Santé au Travail aux partenaires sociaux dans le cadre d'un Comité Hygiène et Sécurité (CHS) entièrement consacré au sujet. Une majorité de syndicats a déjà pointé le peu d’ambition de ce texte et surtout l’absence totale de moyens pour ne serait-ce que le faire appliquer. Il est vrai que les caisses municipales viennent d'êtres amputées de 340 000 euros avec cette sale histoire.

     

    Dans ces conditions, la plupart des organisations syndicales, ne devrait pas signer cet accord cadre. On comprend que dans ce contexte, cette condamnation tombe plutôt mal !

     

    Et aussi dans : http://www.miroirsocial.com/ du 3 fev. 2012

  • Georges Marchais - PCF : immigration et laïcité

    https://www.youtube.com/watch?v=LG2BA9SxClM

    Petit rappel des positions de Georges Marchais sur un certain nombre de sujets...

    ça décoiffe !!!

  • Le PS propose des tarifs sociaux de l'énergie... qui existent déjà

    PARIS, 5 avr 2011 (AFP) - Le projet du Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2012 prévoit de "mettre en place des tarifs sociaux du gaz et de l'électricité", alors que deux dispositifs de ce type existent déjà, dont l'un a été instauré il y a dix ans par un gouvernement socialiste.

    "Pour alléger la facture énergétique des Français, nous réinvestirons une partie des superprofits des groupes pétroliers dans des aides à l'isolation, le développement des énergies renouvelables et la mise en place de tarifs sociaux pour le gaz et l'électricité", indique dans sa 12e priorité le texte du projet soumis mardi au bureau national du PS.

    La formule est curieuse puisqu'un tarif dit "de première nécessité" existe déjà pour l'électricité. Il a d'ailleurs été mis en place par la loi du 10 février 2000, sous le gouvernement de Lionel Jospin.

    Le bénéfice du tarif social de l'électricité est actuellement ouvert aux personnes bénéficiant de la Couverture maladie universelle complémentaire (CMUC), soit par exemple 634 euros par mois pour une personne seule.

    Il s'appliquait fin 2010 à 650.000 personnes et le rabais octroyé, qui a été relevé en janvier, est en moyenne de 95 euros par an.

    Ce tarif est financé par les seuls consommateurs d'électricité, via la Contribution au service public de l'électricité (CSPE).

    De même, un tarif spécial de solidarité pour les abonnés au gaz naturel, prévu par la loi du 8 décembre 2006 (sous le gouvernement Villepin), est en vigueur depuis l'été 2008.

    Bénéficiant à 340.000 ménages aux revenus modestes, il permet des réductions de facture pouvant aller jusqu'à 142 euros par an pour un foyer de 4 personnes se chauffant au gaz. Le gouvernement a relevé ce rabais au 1er avril.

    Ce rabais est financé par une contribution payée par les fournisseurs de gaz naturel (tels que GDF Suez), qui la répercutent ensuite sur la facture de leurs clients.

    Le gouvernement travaille déjà ) rendre automatique l'attribution des tarifs sociaux de l'énergie qui peut paraitre complexe aux ayants droit potentiels, ces derniers n'en faisant pas la demande par défaut d'information ou par gêne de les demander.

  • Cécile DUflot claque la porte

    Mme Cécile DUFLOT, secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts, a dénoncé vendredi les «mauvaises manières démocratiques» du PCF dans le Val-de-Marne, qui a privé EELV de vice- présidences au conseil général après une campagne cantonale marquée par de fortes tensions. Mme DUFLOT, présidente des Verts au conseil régional d’Île-de-France, a par ailleurs annoncé qu’elle quittait son poste de maire-adjointe de Villeneuve-Saint-Georges, dirigée par le PCF, pour des raisons de cumul des mandats mais également pour pointer «le climat de non-travail en commun» avec les communistes dans la ville. Concernant l’attitude des communistes aux cantonales dans ce département, «c’est une mauvaise manière démocratique et c’est une erreur

    On n’accepte pas la tentation permanente d’écraser la force émergente qu’est le parti écologiste», a dénoncé Mme DUFLOT. «EELV, c’est plus de 14%» dans le département et donc zéro représentant dans l’exécutif du conseil général», a-t-elle pointé. Réélu jeudi, le président (PCF) du conseil général du Val-de-Marne Christian FAVIER a privé EELV de ses deux vice-présidences, estimant que les écologistes avaient rompu une «digue» en se maintenant au second tour face à des candidats du Front de gauche.

     

    in Bulletin Quotidien - 4 Avril 2011

  • Affaire Guérini : Martine Aubry joue à l'Autruche

    La Première secrétaire du PS Martine AUBRY a retourné “immédiatement” à M. Arnaud MONTEBOURG son dossier de défense dans le procès en diffamation qui lui est intenté par le président de la fédération PS Bouches-du-Rhône Jean-Noël GUERINI, jugeant que certaines pièces violaient le “secret de l’enquête et de l’instruction”. “Tu m’as fait déposer, ce jour, une copie de l’offre de preuve et des documents que tu aurais produits dans le cadre de ta défense dans le procès en diffamation qui t’est intenté”, écrit Mme AUBRY au député de Saône-et-Loire dans celle lettre datée du 22 mars dont l’AFP a pris connaissance.

    "Je constate avec étonnement à la lecture du sommaire, qu’outre ton rapport, figurent des copies de procès-verbaux de police et des retranscriptions d’écoutes téléphoniques provenant à l’évidence d’une procédure judiciaire en cours”, ajoute-t-elle. “Ignorant comment ces documents sont parvenus entre tes mains en violation du secret de l’enquête et de l’instruction, et ne sachant si tu as requis et obtenu l’autorisation des autorités judiciaires pour les produire, je ne puis en l’état que te les retourner immédiatement, me refusant à les conserver et aussi à prendre connaissance de leurs contenus”, conclut la Première secrétaire. M. MONTEBOURG, auteur d’un rapport interne dénonçant des “dérives” dans la fédération des Bouches-du-Rhône, avait annoncé le 20 mars avoir livré à M. GUERINI un “dossier de preuves” en réponse aux poursuites en diffamation lancées par ce dernier. “Ce dossier comporte 44 pièces, soit au total 1 74 pages, 20 témoins et un enregistrement audio”, avait précisé son avocat.

    Bulletin Quotidien – 01/04/2011

  • Mélenchon (PG) déplore la "soirée privée de la péniche" PS-EELV-PCF

    Le co-président et fondateur du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a déclaré dimanche soir à l'AFP qu'il déplorait la "soirée privée de la péniche", en référence à la réunion des dirigeants du PS Martine Aubry, d'Europe Ecologie-Les Verts Cécile Duflot et du PCF Pierre Laurent.

    "L'heure est au rassemblement de toute la gauche sans exclusive et non pas à l'entre soi", a ajouté le candidat à l'investiture du Front de gauche pour la présidentielle.

    "Cette péniche fait du sur-place", a lancé l'eurodéputé, après que les dirigeants du PS, d'EELV et du PCF eurent appelé ensemble sur une péniche à Paris au rassemblement de la gauche pour le deuxième tour des élections cantonales, pour "amplifier" leur victoire et contrer le FN.

    Le coprésident du PG a expliqué qu'il ne s'y était "pas rendu dans la mesure ou le NPA, notre allié dans 18 départements a été tenu à l'écart".

     

    AFP - 4 JM86 FRS 4825  200311-22h53

  • Plainte du PS contre Navarro, ex-patron de la fédération de l'Hérault

     

    PARIS, 31 mars 2011 (AFP) - Le PS a décidé de porter plainte pour "abus de confiance" contre Robert Navarro, sénateur, ancien patron de la fédération de l'Hérault, proche de Georges Frêche et exclu en février 2010, a indiqué le PS jeudi dans un communiqué.

    "Le Parti Socialiste a décidé de porter plainte pour abus de confiance contre M. Robert Navarro, ancien 1er secrétaire fédéral de l'Hérault, après la découverte de nombreuses factures réglées pendant plusieurs mois par la fédération pour des déplacements sans lien avec son fonctionnement", a indiqué le PS dans un communiqué.

    (...)

    La Fédération de l'Hérault avait depuis été mise sous tutelle du PS. Lors de cette tutelle, "il est apparu que de nombreux déplacements effectués par M. Navarro et certains de ses proches et sans rapport avec l'activité du Parti socialiste avaient été réglés par la fédération", précise le communiqué.

    Cette décision intervient alors qu'Arnaud Montebourg a rendu public un rapport explosif sur "les dérives" de la fédération des Bouches-du-Rhône, mettant en cause son patron Jean-Noël Guérini, réélu jeudi à la tête du département. La direction du PS a installé mardi une commission d'enquête sur cette fédération. (...)

  • L'affaire Guérini, une nébuleuse mêlant plusieurs dossiers

     

    MARSEILLE, 18 fév 2011 (AFP) - L'affaire Alexandre Guérini, du nom du frère du président PS du conseil général des Bouches-du-Rhône écroué depuis décembre, comporte plusieurs ramifications où des protagonistes se croisent:

     

    - l'affaire de la décharge de La Ciotat: exploitée par une société d'Alexandre Guérini, SMA, elle aurait été le théâtre de plus de quatre millions d'euros de malversations impliquant la société Queyras, dont le patron Eric Pascal a été mis en examen. Le président PCF de l'agglomération d'Aubagne, Alain Belviso, est mis en cause. L'extension de la décharge sur un terrain litigieux a vu aussi l'intervention de la préfecture des Bouches-du-Rhône dans des conditions qui interrogent les enquêteurs. Ceux-ci s'intéressent, parallèlement, à la décharge de La Fare-les-Oliviers, dont la délégation de service public était revenue à SMA après un différend entre l'ancien exploitant, filiale de Veolia, et l'agglomération de Salon-de-Provence. La préfecture se serait aussi mêlée de l'affaire.

     

    - les marchés publics de la communauté urbaine de Marseille: deux marchés lancés en 2009, portant sur le tri et la collecte des déchets, sont dans le collimateur de la justice, qui soupçonne un trafic d'influence sur fond de grèves. Michel Karabadjakian, l'ex-directeur de la propreté à Marseille Provence Métropole qui a dit aux enquêteurs devoir son poste à l'entremise d'Alexandre Guérini, a été mis en examen. Le président PS de la collectivité, Eugène Caselli, a été entendu.

     

    - les marchés publics du conseil général de Haute-Corse: des marchés auraient été passés depuis plusieurs années avec des sociétés écrans du sud de la France contrôlées en sous-main par Patrick Boudemaghe, proche d'un membre présumé du grand banditisme, Bernard Barresi. La justice soupçonne des surfacturations et un haut fonctionnaire insulaire a été mis en examen. Le dossier a démarré en 2008 sur des signalements Tracfin et le contrôle fiscal d'une entreprise de Gardanne, ABT. Son gérant, Damien Amoretti, a travaillé pour la société et la compagne d'Alexandre Guérini, et a obtenu des marchés du conseil général des Bouches-du-Rhône.

     

    - le coup de filet de juin 2010: il a vu l'arrestation, sur un yacht Rodriguez, de plusieurs figures du milieu, dont Bernard Barresi et les frères Campanella. On retrouve dans ce dossier Patrick Boudemaghe. Parmi les mis en examen, la compagne de Bernard Barresi qui gère une société de gardiennage, Alba Sécurité, soupçonnée aussi de détournement de fonds. Elle a obtenu des marchés du conseil général et partage une adresse, à Gardanne, avec la société ABT.

     

    - une myriade de sociétés soupçonnées de blanchiment: la toile de fond de l'affaire, qui passe par la Suisse, le Luxembourg, le Royaume-Uni, la Pologne, l'Espagne, Gibraltar, Hong Kong, l'Etat du Delaware et Panama. Certains mis en examen en étaient les ayant-droits et détenaient des parts de sociétés d'Alexandre Guérini. Plusieurs millions d'euros auraient circulé entre ces sociétés, ABT, Alba Sécurité et les attributaires de marchés corses. L'un des mécanismes de fraude consistait à facturer des marchandises acquises ou des prestations effectuées par une société de droit français, à une entité intermédiaire à l'étranger qui les refacturait en majorant le montant jusqu'à 800%.

    4 JC47 FRS 3422  180211-17h20

    ppy/anb/pyj

    AFP