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La gauche la plus bête du monde - Page 20

  • La secte PS, c'est maintenant !

    12 04 11 - Courrier de Jean-François LAMOUR à Bertrand DELANOE.JPG12 04 11 - Courrier de Jean-François LAMOUR à Bertrand DELANOE.pdf

    amis, copains, relations, comment le PS tisse sa toile et envahit tous les étages de la Mairie de Paris, ou comment la concentration des pouvoirs e,ntre les mains d'une seule équipe politique asphyxie toute forme de démocratie

  • Amnésie mitterrandienne

    François Mitterrand, au début de sa présidence allait voir sa fille adultérine qui n’était pas encore cachée à l’Élysée avec un "super frelon" blanc qui décollait toutes les semaines du stade de l’École Militaire pour aller la voir dans les Yvelines 1 000€ la minute de vol !

    Et en plus quand il voulait la voir à Paris, il lui donnait rendez-vous au Fouquet's.

     

    La presse était bien discrète !!!!!!!!!!

    Souvenez-vous...

    MITTERRAND ! UN PEU D'HISTOIRE POUR CEUX QUI ONT LA MEMOIRE COURTE :

    Nous voyons aujourd'hui tous les candidats PS utiliser François Mitterrand, le grand homme, comme une référence, un étendard de vertu.

    Imaginez simplement ce que les journalistes écriraient aujourd'hui...

    -si notre Président actuel organisait un faux attentat (l'observatoire) pour tenter de se faire élire... Imaginez... -si notre Président entretenait sa maîtresse et sa fille adultérine cachées dans les palais de la République...

    Imaginez... -si notre Président se rendait chaque Noël sur les bords du Nil aux frais de l'état...

    Imaginez...-si notre Président faisait racheter la société d'un ami (vibrachoc) par une société d'état pour 5 fois sa valeur...

    Imaginez... -si notre Président faisait lire durant 8 ans et plus, des rapports de santé totalement faux et mensongers...

    Imaginez... -si notre Président ordonnait à ses sbires policiers d'inventer une histoire de terroristes à Vincennes...

    Imaginez... -si notre Président obligeait la France à dévaluer 3 fois de suite en quelques mois...

    Imaginez... -si notre Président laissait un de ses proches se suicider avec un 357 Magnum au sein même de l'Élysée…

    Imaginez... -si notre Président affirmait qu'il ne sait rien sur la destruction à l'explosif par les services français, d'un bateau en Nouvelle Zélande...

    Imaginez... -si notre Président mettait sur écoute sans justification plus de 150 français...

    Imaginez... -si notre Président affirmait à la télévision, face à des journalistes belges (des vrais), qu'il n'a jamais commis ce forfait...

    Imaginez... -si notre Président laissait son ex-premier ministre se suicider un dimanche après-midi de 2 balles ??...

    Imaginez... -si notre Président laissait augmenter la dette de la France de plus de 250 % durant son "règne"...

    Imaginez... ... Imaginez le déchaînement de la presse et les hurlements de la vox populi si notre Président faisait aujourd’hui le dixième de ces frasques !...

     

    François Mitterrand en symbole de vertu ?...Ce n’est pas de l’imagination,

    c’est de l’amnésie.

  • Le Sénat lève l'immunité de Guérini (PS) et Navarro (app-PS)

    PARIS, 15 mars 2012 (AFP) - Le bureau du Sénat a décidé jeudi de lever l'immunité parlementaire des sénateurs Jean-Noël Guérini (PS, Bouches-du-Rhône) et Robert Navarro (app-PS, Hérault), tous deux mis en cause dans des affaires judiciaires.

    Jean-Noël Guérini, 61 ans, a été mis en examen le 8 septembre dans une affaire de marchés publics pour trafic d'influence, prise illégale d'intérêt et association de malfaiteurs dans un dossier impliquant son frère Alexandre, patron de décharges.

    Dans son cas, la demande de levée d'immunité visait à contraindre l'élu à répondre aux convocations et questions du juge.

    (…) Dans un communiqué diffusé à l'issue de la réunion, le bureau du Sénat indique que "s'agissant de M. Guérini" il "a décidé d'accéder à la demande du juge d'instruction dès lors qu'elle apparaîtrait nécessaire pour le contraindre à assister aux actes programmés" c'est à dire à des convocations futures.

     

    Robert Navarro, 59 ans, est, lui, visé par un dossier d'abus de confiance touchant aux frais de fonctionnement de la fédération PS de l'Hérault et n'a pas encore été entendu.

    La demande de la juge d'instruction montpelliéraine Sabine Leclercq de levée d'immunité portait uniquement sur un cautionnement financier au cas où il serait mis en examen, a précisé à l'AFP à l'issue de la réunion le sénateur centriste Jean-Léonce Dupont chargé d'instruire ces demandes pour le bureau.

    "S'agissant de M. Navarro, le bureau a décidé d'autoriser, s'il était mis en examen, la mesure du cautionnement prévue au 11° de l'article 138 du code de procédure pénale", indique le communiqué du bureau.

    Les affaires Guérini et Navarro, avec celle du député du Pas-de-Calais Jean-Pierre Kucheida, visé lui aussi par des accusations de malversations, embarrassent le PS depuis plusieurs mois dans la perspective des élections.

  • Quand Mélenchon accuse Hollande d'avoir triché avec lui lors d'une élection

    PARIS - 15 /03/12 - Dans une vidéo qui fait le buzz sur internet, le candidat Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon raconte un accord qu'il aurait conclu avec François Hollande pour gonfler leurs scores respectifs lors d'un congrès, avant que le second ne le trahisse, ce qu'il ne lui a jamais "pardonné".

    Dans ce témoignage filmé en 2009 par France24 d'une durée d'à peine plus d'une minute et même repris en une du site de l'UMP, M. Mélenchon, lui-même ex-PS raconte cette histoire édifiante d'un arrangement entre socialistes qui aurait eu lieu lors du congrès PS de Brest en 1997, selon lexpress.fr.

    Il raconte: "Et donc je rencontre Hollande et je lui dis +moi c'est fini tu fais ton truc tout seul, tu te mets le score que tu veux parce que moi je ne participe pas à ton truc+".

    "+Oh allez tu ne vas pas discréditer le parti+, me dit-il", poursuit Jean-Luc Mélenchon en faisant parler M. Hollande, lequel lui aurait dit +Bon alors comment on arrange ça ?+".

    "On l'a arrangé comme on dit, lui 85 (%) moi 15 (%). Alors lui il avait plus que sa motion au congrès et moi plus que la mienne, on s'est quittés bons amis en s'embrassant sur les joues. Evidemment un accord avec Hollande ou rien, c'est pareil, il ne tient jamais parole", relate encore l'ex-socialiste.

    Il poursuit: "Non seulement il (M. Hollande) ne tient pas parole, mais il met plus de 15 jours à annoncer les résultats (...) et il me donne un score inférieur à ma motion, ce qui est littéralement impossible", à savoir 10,21%.

    "Pourquoi ?" lui demande alors le journaliste. "Comme ça, par jeu. C'est un homme qui aime jouer et ça l'a amusé de me voir humilié, de me voir fou de rage, ça le distrayait. Dans son cas il s'agit d'un vice de cynique. Je lui ai dit que je ne lui pardonnerai jamais, vous voyez en effet je ne lui pardonne pas", conclut la vidéo.

    © 2012 AFP

  • La visite tronquée de François Hollande à Varsovie

    Le candidat socialiste n'a pas été reçu vendredi par le premier ministre polonais, Donald Tusk

    Les visites de capitales européennes, pour François Hollande, se suivent et se ressemblent. Après Madrid, Berlin, Rome et Londres, le candidat socialiste achevait à Varsovie, vendredi 9mars, sa quête continentale de présidentialité.
    Reçu quarante minutes par le président Bronislaw Komorowski, François Hollande ne l'a pas été, comme espéré initialement, par le premier ministre conservateur, Donald Tusk. Tout comme il avait été snobé par Angela Merkel, Mario Monti et David Cameron.
    Un camouflet diplomatique de plus que M. Hollande s'est employé à déminer. «J'ai été reçu par le président de la République polonaise. Je suis moi-même candidat à la présidence. J'ai considéré très modestement que c'est le bon niveau pour la relation que je veux entretenir avec les autorités polonaises », a-t-il évacué, sans préciser que le chef du gouvernement détient ici le pouvoir exécutif.
    Quant à l'entente cordiale entre conservateurs, évoquée par l'hebdomadaire allemand Der Spiegel, qui publiera d'ailleurs lundi un entretien avec le candidat socialiste, celui-ci a, c'est une habitude, ironisé : «Je comprends la prudence, je comprends les amitiés. Le devoir de solidarité me touche, tout particulièrement à l'égard du candidat sortant. » Sans rancune, pourtant «J'essaierai d'avoir le meilleur rapport avec les chefs d'État et de gouvernement. Et même avec ceux qui ne m'auraient jamais reçu avant l'élection présidentielle », a promis M. Hollande. S'agissant des marges de manœuvre dont il disposera pour réorienter la construction européenne, il estime que son élection lui offrirait les coudées franches: «Le nouveau chef de l'État a forcément une légitimité que n'a pas le président sortant. »
    Le staff de M. Hollande avait également prévu une «déambulation» dans les rues du ghetto de Varsovie. Sans savoir que, à part quelques façades d'immeubles, celui-ci n'existe plus depuis longtemps. Le candidat s'est rabattu sur le monument édifié à l'emplacement de la gare qui vidait le ghetto de Varsovie à destination de Treblinka.
    Puis il a filé pour un débat avec l'ex-président Alexandre Kwasniewski et l'intellectuel Adam Michnik, où il a fait pénitence pour les «déclarations malheureuses» entendues en France en 2005 sur les plombiers polonais : «Je veux dire aux plombiers que nous n'avons rien contre cette corporation et rien contre la Pologne. » Fin de l'opération séduction à l'Est, et des déplacements à l'étranger.
    François Hollande, qui recevra le 17mars plusieurs dirigeants sociaux-démocrates européens, entend dire à cette occasion «ce [qu'il] attend des prochaines étapes de la construction européenne ».
    Quant à l'éventualité de revenir en Pologne, une fois élu, pour y soutenir l'équipe de France de football à l'occasion de l'Euro 2012,M. Hollande a plaisanté, en référence à sa proposition de taxation à 75% des hauts revenus, qui concerne certains footballeurs : « Vous avez peur que je sois mal reçu ?Ne vous inquiétez pas, je ferai la quête...»

    David Revault d'Allonnes

    Le Monde – 12-03-12

  • La gauche qui parle de dérive des services secrets a la mémoire courte

    Entre janvier 1983 et mars 1986 la cellule dite antiterroriste de l'Élysée créée par François Mitterrand a écouté plus de 150 personnes dont le journaliste Edwy Plenel, l'avocat Antoine Comte, l'actrice Carole Bouquet, et deux hommes politiques (Joël Galipapa, proche de Charles Pasqua,et le trésorier du CDS François Froment-Meurice).

    En 1985 deux agents de la DGSE coulent le bateau de Greenpeace, le Rainbow Warrior, en Nouvelle-Zélande.

    En 1993 les RGécoutent en direct leconseil national du Parti socialiste

  • Hollande déjeune avec BHL dans l'un des restaurants les plus chers de Paris

    François Hollande et Bernard-Henri Lévy ont déjeuné «Chez Laurent», restaurant chic du 8ème arrondissement, ce mardi.

    Menu par personne, hors boisson : 165 € 

    http://www.le-laurent.com/fr/index.php#carte-et-menus.php

    http://www.le-laurent.com/maj/pdf/Carte_3_janvier_2012_AVEC_prix_SOIR.pdf

    pour mémoire, un dîner au Fouquet's, c'est 85 € : http://www.bestrestaurantsparis.com/fr/restaurant-paris/fouquets.html

    C’est Pierre Bergé, mitterrandien historique, qui a joué les entremetteurs entre les deux hommes dont les relations n’étaient pas au beau fixe.

    Dans une interview au «Parisien Dimanche», l’écrivain-philosophe, qui a soutenu Nicolas Sarkozy lors de la guerre en Libye, tenait des propos peu amènes sur le député corrézien. A la question : «A-t-il la trempe d’un chef de guerre comme Sarkozy ?», BHL répondait : «Probablement pas. Et c’est d’ailleurs bien ce qu’il dit quand il nous annonce, lui-même, qu’il sera un président « normal».

     

    LeParisien - 28 Février 2012

     

     

  • Rose Mafia - Le livre qui balance sur le PS du Pas-de-Calais

    12 02 20 - Gérard Dalongeville - Ancien Maire d'Hénin-Beaumont.jpg Dans un livre choc, "Rose Mafia", l'ex-maire d'Hénin-Beaumont, Gérard Dalongeville, lève le voile sur les étranges circuits de financement d'élus de la fédération socialiste. Lui-même mis en cause par la justice, il refuse d'être le seul à payer.

     

    Emplois fictifs, enveloppes de billets données de la main à la main par des dirigeants d'entreprises, doubles facturations, corruption, achat de complaisance d'un magistrat... Dans un ouvrage de 300 pages truffées de détails, à paraître le 23 février (1), Gérard Dalongeville, ancien maire d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), a décidé de mettre à nu les étranges mœurs de ses anciens amis socialistes.

     

    Un témoignage rare de la part d'un initié sur un "système pourri jusqu'à la moelle", écrit-il. Après être passé huit mois par la case prison - il est mis en examen pour détournements de fonds publics, favoritisme, faux en écriture, corruption... -, l'homme a décidé de tout dire... pour ne pas payer seul.

     

    L'ouvrage guide le lecteur dans les incroyables méandres du financement politique. Et fait brusquement resurgir une époque qu'on pensait révolue depuis l'adoption des lois sur le financement des partis. Mais il faut croire que, dans l'ancien bassin minier où le PS est sans concurrence sérieuse depuis des décennies, les mauvaises habitudes ont perduré.

     

    Dons, surfacturation et vols d'archives...

    À écouter Gérard Dalongeville, les flux d'argent empruntent divers chemins sinueux. Parfois, les militants versent des dons en liquide de 100, 500, voire 1000 euros à un candidat socialiste - ou directement à la fédération PS du Pas-de-Calais - qui leur sont aussitôt restitués par virements d'entreprises "amies". En échange, celles-ci disposent de facilités d'accès aux marchés publics.  

     

    Dalongeville dit avoir les preuves de ce qu'il avance

    L'auteur se fait plus précis lorsqu'il raconte comment un major régional du BTP a versé un chèque de "215 280 euros" à un homme d'affaires peu scrupuleux au titre de dépenses de sponsoring. "L'explication est tout autre, rectifie Gérard Dalongeville, c'est une rétrocommission au profit du PS." 

     

    Pis! L'ancien édile soutient que son ancien premier adjoint s'est rendu en avion au Luxembourg à plusieurs reprises pour blanchir de l'argent et que ces déplacements étaient liés au financement du PS. "Je n'ignore pas la gravité de ces accusations", soutient-il. Et d'annoncer qu'il ne craint pas les procès en diffamation, car il possède les preuves de ses allégations.  

     

    En décembre 2010, la parution dans la presse des lettres que l'ancien maire avait adressées depuis sa cellule à la juge d'instruction Véronique Pair avait déjà mis le feu aux poudres. Au centre des soupçons de financements occultes, un homme: Jean-Pierre Kucheida, 69 ans, inamovible député-maire de Liévin depuis 1981. À l'époque, ce dernier avait réfuté en bloc les "fantasmes" de son ancien protégé.   

     

    "Nettoyer les écuries d'Augias"

    Des "fantasmes" jugés toutefois suffisamment crédibles pour déclencher l'ouverture de quatre enquêtes préliminaires et, depuis, l'organisation de nombreuses et discrètes auditions et perquisitions d'entreprises par la division nationale des investigations financières de Nanterre (Hauts-de-Seine).   

    De bonne source, celles-ci devraient aboutir dans les prochains jours à des gardes à vue assorties de mises en examen pour - à tout le moins - prise illégale d'intérêts. Assigné à résidence dans les Vosges, Gérard Dalongeville, 41 ans, élude un peu trop rapidement ses propres responsabilités dans l'ouvrage. Parfois, il se transforme même en un étrange justicier: "Il est temps de nettoyer les écuries d'Augias", écrit-il.  

    L'éditeur a préservé un secret total jusqu'à la sortie de cet ouvrage sulfureux. Sa parution intervient au pire moment pour le candidat François Hollande. Et au meilleur pour ses concurrents, au premier rang desquels Marine Le Pen, précisément candidate aux législatives à Hénin-Beaumont et qui ne cesse de dénoncer la "mafia socialiste".  

    Depuis des années, les socialistes locaux font tout pour lui donner raison.  

     

    (1) Rose mafia, par Gérard Dalongeville. Ed. Jacob-Duvernet, 298 pages, 19,95€.  

    In l'Express - Jacques Trentesaux - 20 Fev 2012