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La gauche la plus bête du monde - Page 13

  • Le PCF lance avec le FG une "campagne nationale contre l'austérité"

    PARIS, 21 nov 2012 (AFP)

    Le Parti communiste français (PCF) lance avec le Front de gauche (FG) une "grande campagne nationale contre l'austérité" accompagnée de meetings, de réunions publiques et de "votations citoyennes", a annoncé mercredi le PCF.

    "En France, des salariés, les organisations syndicales ne baissent pas les bras. Des citoyens, des économistes, des pans entiers de notre société n'acceptent pas l'idée que la gauche va de nouveau se fracasser contre ce mur de la finance. C'est aussi vrai en Europe", déclare le PCF dans un communiqué.

    "C'est en pensant à ces forces disponibles que nous proposons une grande campagne nationale sur le thème +l'alternative à l'austérité, c'est possible+", ajoute-t-il.

    "Nous proposons une implication citoyenne très large : grand meeting national de lancement avec une série de réunions publiques en régions, organisation de votations citoyennes, de marches contre l'austérité, assemblées, ateliers législatifs, journées de mobilisation sur des questions précises permettant de faire la démonstration que des solutions existent", annonce le PCF.

    "Nous allons proposer des mesures plus justes socialement et bien plus efficaces économiquement", ajoute le parti communiste, une des principales composantes du Front de gauche.

    "L'objectif politique pourrait se résumer à une idée : dans six mois, nos concitoyens qui se retrouvent dans des valeurs de gauche seront-ils résignés, abattus, où au contraire dans un esprit de combativité contre l'austérité, mobilisés pour obtenir un changement de cap au nom de ceux qui ont fait le choix du changement ?", conclut le PCF.

  • Le Sénat rejette le budget de la Sécu 2013, les communistes votant contre

    PARIS, 15 nov 2012 (AFP)

    Le Sénat a rejeté jeudi le budget de la Sécu 2013, le groupe communiste qui le trouve insuffisamment à gauche ayant voté contre sa partie recettes, tout comme la droite qui l'a jugé pas assez rigoureux.

    La deuxième partie du budget de la Sécu, consacrée aux dépenses, "tombe" d'office et ne sera pas examinée par le Sénat. Une commission mixte paritaire (CMP, 7 sénateurs, 7 députés) sera convoquée mais elle est promise à un échec. Le texte reviendra alors devant les deux chambres du Parlement puis une troisième fois devant l'Assemblée nationale qui aura le dernier mot.

    Le groupe CRC (communiste) a estimé que "sa démarche n'a pas été entendue par le gouvernement" avec le rejet de tous ses amendements, selon sa présidente Eliane Assassi. "La gauche gouvernementale s'installe dans des choix de rigueur et non pas de justice sociale", a-t-elle déploré.

    Mme Assassi a par ailleurs qualifié avant le vote "d'indécence à l'état pur" le temps de débat consacré à l'adoption d'un amendement augmentant la taxation sur l'huile de palme et à un autre baissant celle prévue sur la bière.

    "Ce projet de loi n'est pas compatible avec les perspectives de croissance", a dit pour l'UMP Alain Milon. De plus, les hausses de taxes prévues "touchent les Français et les entreprises", a-t-il reproché, "ce qui risque d'aggraver la situation économique".

    Le centriste Gérard Roche s'est félicité que son amendement dédiant aux départements les recettes de la nouvelle taxe de 0,3% (Casa) pour financer l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA) ait été adopté, mais il a regretté que ce fut contre l'avis du gouvernement.

    "Dans ces conditions votre comportement m'a déçu", a-t-il poursuivi pour expliquer qu'une grande partie de son groupe voterait contre le texte. Jean-Marie Vanlerenberghe, un autre centriste, a reproché l'absence d'un "calendrier du retour à l'équilibre du compte de la Sécu".

    Les Écologistes ont voté en revanche ce "budget de transition", "qui comprend notamment la fin de la convergence tarifaire publique-privé", a fait valoir Aline Archimbaud.

    Le rapporteur Yves Daudigny (PS) a souligné que le débat avait enrichi le texte, grâce à des amendements favorables à la pratique du vélo, à l'attribution de la Casa aux départements, aux taxes adoptées sur l'huile de palme ou l'aspartam, à la baisse de celles sur la bière, ou au rétablissement d'une contribution sociale sur les revenus tirés de la gestion des fonds de placement.

    La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a pour sa part récusé l'idée selon laquelle le texte remettait en cause l'équilibre de financement entre mesures fiscales et cotisations.

  • Mamère (EELV) : "je ne me vois pas tenir 5 ans à avaler des couleuvres"

    PARIS, 09 nov 2012 (AFP)

    Le député Noël Mamère (EELV) a estimé vendredi que les écologistes avaient "un problème culturel avec une grande partie de la gauche traditionnelle" qui devenait "un problème politique", confiant ne pas se voir "tenir cinq ans à avaler des couleuvres".

    "Nous avons un problème culturel avec une grande partie de la gauche traditionnelle, qu'il s'agisse du PS ou du PC", a constaté sur BFMTV le député-maire de Bègles, après les propos du sénateur EELV Jean-Vincent Placé, s'interrogeant sur la place de son parti au gouvernement.

    "Et ce problème culturel devient un problème politique parce que maintenant les écologistes sont pratiquement dans toutes les institutions et ils ont deux ministres au gouvernement et ce sont deux bons ministres qui travaillent bien", a-t-il souligné en confiant: "je ne me vois pas tenir cinq ans à avaler des couleuvres une fois par semaine".

    L'ancien candidat des Verts à la présidentielle de 2002 a dit s'être notamment posé des questions la semaine dernière parce que, a-t-il expliqué "la fiscalité écologique est une sorte de mot passe-passe pour les socialistes mais qui n'a aucun contenu".

    "Ils s'exonèrent de toute politique écologique et de toute politique s'engageant vers une conversion écologique de la société une fois qu'ils ont parlé de transition écologique, mais cela ne suffit pas", a déploré l'élu écologiste en souhaitant que les socialistes donnent "des preuves" de leur engagement.

    "Ces preuves, on les attendait dans le pacte de compétitivité" mais ils ont proposé "la fiscalité écologique en 2016, autant dire un enterrement de première classe, parce que chacun sait qu'un gouvernement qui a déjà cédé devant les pigeons et autres lobbies, ne sera pas capable en 2016, à la veille des élections présidentielle et législatives, de mettre en oeuvre cette fiscalité écologique", a-t-il dénoncé.

    Parmi les autres sujets de conflits, Noël Mamère a cité la question du traitement des sans-papiers, après l'adoption dans la nuit par le Sénat d'une "retenue" pouvant aller jusqu'à seize heures pour remplacer la garde à vue des sans-papiers et la construction de l'aéroport Notre-Dame-Des-Landes.

    Ce projet d'aéroport, "c'est l'exact contraire de la transition écologique puisqu'il s'agit d'un projet inutile, coûteux, et destructeur pour l'environnement et qui ne correspond pas du tout aux engagements du gouvernement pour aller vers la transition écologique", a-t-il accusé.

  • Bachelay (PS) au PCF: quand on est à gauche, on ne vote pas avec l'UMP

    PARIS, 31 oct 2012 (AFP)

    Le numéro deux du PS, Guillaume Bachelay, a déploré mercredi que des sénateurs communistes aient rejeté, avec la droite, une proposition de loi socialiste sur l'énergie, ce à quoi le PCF a rétorqué qu'il n'avait pas de leçons de "gauchitude à recevoir".

    Quand on est à gauche, on ne vote pas avec l'UMP, a estimé l'élu de Seine-Maritime sur RFI, faisant allusion au rejet dans la nuit d'une proposition de loi socialiste sur l'énergie par des votes conjoints de sénateurs communistes, de droite et du centre.

    Au Sénat, "la gauche est majoritaire mais la majorité gouvernementale a besoin de l'apport des députés communistes", a déclaré l'élu. "Il (le PCF) a manqué, cette nuit, sur ce texte".

    "Je le dis en amitié et en responsabilité : quand on est à gauche, on vote avec la gauche, pas avec l'UMP", a tranché M. Bachelay.

    "Et donc, le gouvernement a raison de maintenir l'effort car le texte va revenir à l'Assemblée sur la tarification énergétique qui est un texte de justice sociale et d'efficacité énergétique", a fait valoir ce proche de Laurent Fabius.

    Une motion d'irrecevabilité communiste contre la proposition de loi PS a été votée au Sénat par 187 voix contre 156, avec l'apport de l'UMP et des centristes.

    Ces "leçons de gauchitude" constituent un "exercice hasardeux", a répliqué dans l'après-midi le porte-parole du PCF, Olivier Dartigolles, dans un communiqué.

    "Quand on est de gauche, on ne s'attaque pas à la péréquation tarifaire de l'énergie (même tarif quel que soit son lieu d'habitation) qui garantit de traitement égalitaire entre les Français", a-t-il dit.

    "Quand on est de gauche, on ne propose pas une loi élaborée sans aucune concertation avec les différents acteurs que sont les usagers et leurs associations, les élus, les organisations syndicales", a-t-il ajouté.

    Olivier Dartigolles a souligné en conclusion que "ce sont bien les parlementaires socialistes qui ont voté avec l'UMP le traité budgétaire européen qui promet l'austérité au peuple".

    "Donc, quand on est de gauche, on refuse le traité Sarkozy-Merkel et on combat l'austérité et toutes les vieilles recettes patronales de compétitivité basées sur l'écrasement du +coût du travail+", a-t-il appuyé.

  • Durand (EELV) dénonce "l'attitude arrogante" de certains "barons" du PS

    22/10/2012 22h53 - GOUVERNEMENT-PARTIS-EELV-PS - Monde (FRS) - AFP

    Le secrétaire national d'EELV Pascal Durand a dénoncé "l'attitude arrogante" de certains "barons" du PS à l'égard de sa formation, estimant qu'il reste "un énorme travail à faire" pour que les écologistes soient considérés comme des acteurs à part entière de la majorité.

    Interrogé par le Figaro à paraître mardi sur l'accord de gouvernement EELV-PS, dont certains socialistes jugent qu'il est trop à l'avantage des écolologistes, Pascal Durand estime que "ceux qui (les) critiquent ont souvent une vision comptable et datée de la politique, où des barons sont seuls maîtres à bord dans leur région ou dans leur ville".

    "Or, cette attitude arrogante les empêche de construire les réponses politiques à la hauteur des enjeux du nouveau siècle. De ce point de vue, il est parfois bien difficile de distinguer certaines personnalités du PS de leurs homologues de l'UMP", poursuit-il.

    "Il nous reste un énorme travail à faire pour être acceptés comme de véritables acteurs. Les écologistes portent pourtant un grand nombre de solutions qui répondent aux crises actuelles et qui préparent l'avenir (...)", affirme encore Pascal Durand.

    Invoquant les noms de "De Gaulle et Pompidou", qui "ont su mobiliser les moyens de la recherche publique pour construire une filière nucléaire", il demande au PS "d'avoir la même vision et le même niveau d'ambition pour en sortir et développer en France une nouvelle industrie autour des énergies renouvelables". "La France des années 2000 mérite autant que celle des années 1960", dit-il.

    "On nous a promis une grande réforme de la fiscalité pour 2013. J'attends de voir et j'espère que le gouvernement sera au rendez-vous. Est-ce que, notamment, le gouvernement aura le courage de s'attaquer aux niches fiscales liées à l'énergie?", s'interroge-t-il.

  • François Hollande et Ségolène Royal se croisent sans se rencontrer à l'ONU

    26 sept 2012 (AFP) - Le président français François Hollande et son ex-compagne Ségolène Royal se sont retrouvés à quelques mètres l'un de l'autre mercredi à New York en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, a constaté un journaliste de la AFP.

    Tandis que le président Hollande faisait son entrée dans un bâtiment des Nations Unies pour participer à une réunion sur le Sahel, Ségolène Royal expliquait à une vingtaine de journalistes français les raisons de sa présence, en sa qualité de vice-présidente de l'Internationale socialiste.

    Comme on lui demandait si elle avait l'intention de saluer le président, la présidente de la région Poitou-Charente a répondu par l'affirmative, "oui si le protocole le permet", assurant que tous deux n'étaient pas "dans des postures de démonstration, de mise en scène".

    "Nous sommes chacun dans nos responsabilités, nous représentons chacun une voix de la France, moi, à l'Internationale socialiste qui rassemble plus de 150 pays, et François Hollande qui est la voix de la France sur la scène internationale", a-t-elle observé.

    "Ce qui est très important, c'est que ces voix soient convergentes", a-t-elle souligné.

    Le président Hollande qui patientait dans le hall du bâtiment pendant que Ségolène Royal tenait son point de presse devant une forêt de micros et de caméras, a finalement fait demi-tour pour pénétrer par une autre issue.

  • Rebsamen agacé par Lebranchu sur le dossier de la décentralisation

    PARIS, 26 sept 2012 (AFP) - Le président du groupe PS au Sénat, François Rebsamen, n'a pas caché mercredi son exaspération après les déclarations, mardi, de la ministre Marylise Lebranchu sur le projet de loi sur la Réforme de l'Etat et de la décentralisation, dont elle a la charge.

    Ce projet de loi "est prêt", a-t-elle dit, précisant quelques heures plus tard que la version définitive prendra en compte "les travaux des élus dans les états généraux organisés par le Sénat" début octobre. Mme Lebranchu a reconnu mercredi sur RTL "une maladresse".

    "Je pense que ce n'est pas comme cela qu'il faut faire les choses", s'est insurgé François Rebsamen, invité du talk Orange-Le Figaro.

    "Je m'élève contre les propos de Marylise Lebranchu. Il y a des Etats généraux des collectivités locales qui ont été organisés par le président du Sénat et par le Sénat les 4 et 5 octobre, et donc tout cela va être débattu", a-t-il dit.

    "Je sais que pour 2013, nous avons obtenu le gel des dotations, ce qui est pour moi (...) une belle preuve de confiance dans les collectivités locales. Pour le reste, laissons parler les élus locaux, entendons-les et faisons, nous, des propositions au gouvernement, et pas l'inverse", a conclu François Rebsamen.

  • Réforme de l'action publique: "stupéfaction" des sénateurs communistes

    PARIS, 25 sept 2012 (AFP) - Les sénateurs "communistes, républicains et citoyens" (CRC) ont exprimé leur "stupéfaction" après l'annonce mardi par la ministre Marylise Lebranchu que le projet de loi sur la Réforme de l'Etat et de la décentralisation, dont elle a la charge, "est prêt".

    Les états généraux de la démocratie territoriale, organisés par le Sénat les 4 et 5 octobre pour apporter la contribution des élus à cette réforme, "ne peuvent être ainsi mis devant le fait accompli", affirme dans un communiqué le groupe CRC, qui fait part de sa "stupéfaction".

    "Après avoir contribué à leur organisation, les sénateurs du groupe CRC n'acceptent pas que la relation de confiance qui s'était nouée, avec cette consultation, soit aujourd'hui bafouée par le gouvernement", ajoutent les sénateurs.

    Les signataires "appellent l'ensemble des élus locaux à assurer le succès de ces états généraux et à y faire entendre plus fortement encore leur voix, pour affirmer leurs exigences".

    Le texte de loi "est écrit, il est prêt", et vise à "organiser le +qui fait quoi?+ pour une meilleure efficacité de l'action publique", déclare Mme Lebranchu dans un entretien aux Echos publié mardi.

    Ce projet de loi doit être examiné "début novembre" par le Conseil des ministres, selon la ministre.

  • L'épouse de Bartolone chargée de mission auprès de son mari

    PARIS, 25 sept 2012 (AFP) - Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone compte parmi les membres de son cabinet sa propre épouse, Véronique Bartolone, ce qui a suscité des réactions sarcastiques de nombreux élus mardi, alors que le responsable PS dévoilait une série de mesures d'économie.

    Véronique Bartolone est une des 16 membres du cabinet du président de l'Assemblée, avec la fonction de "chargée de mission interventions et droits des femmes", selon le détail de la composition du cabinet affiché sur le site internet de l'Assemblée.

    Interrogé mardi par Europe 1, Claude Bartolone a réfuté tout conflit d'intérêt, expliquant que son épouse avait déjà été sa collaboratrice dans de précédentes fonctions, au ministère de la Ville (1998-2002) ou comme chargée de mission au conseil général de Seine-Saint-Denis, dont il a été le président.

    L'information a suscité des réactions sarcastiques, le jour où le président de l'Assemblée dévoilait devant la presse une série de mesures d'économies imposées à lui-même et à son institution, plaidant pour la "transparence" et la "sobriété".

    "Bonne nouvelle sur le front du chômage: madame Bartolone rejoint son président de mari au cabinet!", a ironisé le député UMP Lionnel Luca sur Twitter

    "Drôle de jour pour annoncer l'embauche de Madame Bartolone au cabinet du président de l'Assemblée nationale", a lancé son collègue Thierry Solère (apparenté UMP), lui aussi sur le réseau social

  • Succession Aubry: la "cooptation" fera perdre trois ans au PS, pour Gorce

    PARIS, 5 sept 2012 (AFP) - Le sénateur PS Gaëtan Gorce a mis en garde mercredi contre le risque pour son parti de "perdre trois ans" s'il ne remet pas en cause, pour désigner son futur chef, son système de "cooptation".

    Sur France Inter, l'élu de la Nièvre a lancé : "ne reculons pas", à propos d'un processus qui selon lui, combine "le meilleur du Vatican et le meilleur du Kremlin".

    Pour lui, "si nous acceptons cette régression, c'est-à-dire cette cooptation qui traduit vraiment la fin d'un système fondé sur les courants, les motions et les écuries, si nous acceptons cela, nous perdrons trois ans" (le temps qui s'écoule normalement entre deux congrès).

    "Les querelles de chefs resurgiront, si on ne les règle pas maintenant", selon M. Gorce. "Martine Aubry et ceux qui l'accompagnent font une faute politique en n'organisant pas un vote".

    La veille, l'élu socialiste s'était dit prêt à soutenir la candidature d'Harlem Désir si l'eurodéputé n'était pas choisi par Martine Aubry et décidait malgré tout de concourir.

    Ce dernier a appelé lundi à un "vote ouvert" des militants pour désigner le futur premier secrétaire, quel que soit le nom qui aura été proposé par Martine Aubry pour être premier signataire de la motion majoritaire, le choix marquant sa préférence pour sa succession.